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ϟ Tour Gryffondor

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Tour pas tout à fait voisine de celle des Serdaigle, la tour des Gryffondor est accessible depuis le septième étage. Un tableau d’une cantatrice énervante sur un palier, voilà ce qu’il vous faudra trouver pour pénétrer dans le dortoir. Vous voilà alors tributaires du bon vouloir des escaliers qui n’en font qu’à leur tête et de votre mémoire. Pas de mot de passe, pas de dortoir. Tachez de vous en souvenir !

Le tableau passé, un petit couloir de pierre vous mènera à la salle commune en elle-même. Ronde, chaleureuse, décorée dans les couleurs des rouges et ors, tout est fait pour que le parfait Gryffondor puisse s’y plaire. Une cheminée au feu flamboyant, un canapé lui faisant face et sur les côtés plusieurs fauteuils rouge sang. Des tables de-ci de-là sont présentes pour les études et devoirs du soir. Surtout, n’oubliez pas de remettre tout à sa place si vous ne vous voulez pas craindre les remontrances criardes du tableau de Ludmila Saltmild. Une ancienne Gryffondor, médaillée pour rendu service à l’école sauf qu’elle n’apparait dans aucun registre, il n’y a pas de traces de son existence, ni de sa récompense. La pauvre aurait-elle perdu la mémoire avec le temps ? Il ne tient qu’à vous d’enquêter pour en savoir plus. La rumeur dit qu’un tableau de la tour Serdaigle pourrait avoir des informations à fournir sur cette histoire, encore fait-il pouvoir y pénétrer. Mission impossible ! Sur le mur faisant face à l’entrée de salle commune, une arche suivie d’escaliers serrés vous conduiront au palier des dortoirs. Veillez à ne pas vous tromper, sur la gauche c’est pour les sorcières, la droite pour les sorciers. Comme tous les dortoirs de l’école, c’est à cinq par élèves que vous vous retrouverez. Les lits, sont les traditionnels lits à baldaquin avec des édredons aux couleurs rouges.

Les Gryffondor étant connus pour être fiers comme des lions, il n’est pas surprenant de retrouver à chaque endroit où se pose le regard des signes de cette maison : de l’or pour la prestance, du rouge pour la vaillance, des hyppogriffes pour le caractère, de la chaleur pour l’amitié. Et un tableau d’un attrapeur qui ne cesse d’égarer son vif d’or dans les tableaux de ses voisins. La guerre des voisins fait rage chez les tableaux de la salle commune des Gryffondor !