À l’origine se trouve une unité de mesure variable, le hide ( aussi appelé cacurate ), qui avait la particularité de prendre une valeur différente selon la fertilité des terres. Désormais abandonnée, reléguée à l’époque médiévale, l’unité a tout de même influencé le nom du parc en question : le Hyde Park qui est certainement un des plus grands parcs du centre de Londres. D’une superficie de 140 hectares, l’endroit est apprécié pour les balades à deux, pour les excursions en vélo. Ou même pour fomenter des complots en toute impunité : qui songerait que, sous des airs angéliques, quelques individus tenteraient de repeindre la face du monde ? Certainement personne ; et c’est en cela qu’il faut en profiter. A ce propos, il semblerait que des ruines de l'ancien domaine attendent toujours d'être découvertes, sous la végétation. Ruines qui cacheraient l'accès vers les anciens souterrains, renfermant une salle bien vaste sous le couvert de la végétation. Attention, néanmoins, aux animaux qui ont trouver l'accès avant vous. Mais si la venue en ces lieux a pour trait un rapport à l’histoire, c’est vers le Hyde Park Corner qu’il faut se diriger. En effet, se trouvent là-bas les vestiges de la bataille de Waterloo comme le témoigne le Wellington Arch. À moins qu’il ne faille se diriger vers les jardins de Kensington, Lady-D aurait vécu dans des appartements non loin de là. Se rendre aux deux endroits dans la même journée est aisé et, lorsqu’il ne pleut pas, la balade est agréable sous le couvert de la verdure. Avis aux mordus de sport et aux amoureux : le parc accueille également une patinoire l’hiver venu. En espérant que le message soit passé.