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| merry ∞ i'm not weird, i'm really really cool... sometimes. | |
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Meredith Y. Jones La passion de Poudlard. Professeurs & personnel. ϟ Parchemins : 18 ϟ Célébrité : Rachel Bilson
| Sujet: merry ∞ i'm not weird, i'm really really cool... sometimes. Mer 29 Mai - 16:52 | |
| Meredith « Merry » Yseult & Jones« Mettre une citation de votre choix.» Ancienne Poufsouffle, Poudlard ϟ 30 ans, tout rond ! & le 12 janvier 2003 à Cardiff au Pays de Galles ϟ Franco-Anglaise Infirmière ϟ Sang-mêlée Moi en quelques mots généralement, je suis aimable, courtoise et attentionnée mais faut pas pousser non plus hein ϟ je suis assez observatrice, c'est d'ailleurs un trait pratique quand il s'agit d'ausculter un patient mais également lorsque j'essaie d'en apprendre un peu plus sur quelqu'un ϟ mon humour est à tout épreuve, dommage que peu de personne ne le comprennent ou rient à mes vannes... particulièrement.... débiles ϟ enjouée, je suis de bonne humeur la plus part du temps ϟ le dernier point dépend également des gens parmi lesquels je me trouve, je suis assez adaptable niveau comportement ϟ j'ai beau être gentille et tolérante, je suis loin d'être naïve ϟ j'ai même tendance à me montrer rancunière ou distante ϟ j'ai beau être bavarde (très) je sais garder des secrets ϟ je suis opiniâtre, j'ai une idée en tête et je ne l'a lâche pas, j'suis pas du genre à abandonner ; dans certains cas, c'est une qualité, dans d'autre un gros défaut ϟ en parlant de défaut, j'ai parfois tendance à me montrer vaniteuse ou narcissique, mon égo prend une place importante dans mon être ϟ je suis du genre patiente mais trop, c'est trop ! ϟ je ne suis pas colérique à proprement parler, je parviens à me contenir avec une certaine aisance, mais comme je le répète encore une fois, pousser les gens à bout est une mauvaise chose, surtout quand cette personne, c'est moi. ϟ et pour finir, je dirais que j'aime bien m'habiller élégamment ou dans la tendance, mais ça, c'est pas une question de caractère, mais de style, enfin, l'un dans l'autre...
Histoire des prénoms Pour certains, c’est quelque chose de tout à fait commun, chacun possède un voir plusieurs prénoms, c’est comme ça, c’est dans le cours des choses ; pour d’autres encore, ils ont une signification particulières ou une valeur sentimentale importante. Pour ma part, je me classerais plutôt dans la seconde catégorie. C’est mon père, d’origine galloise, qui a choisi mon premier prénom, Meredith. Je ne suis pas certaine de sa signification mais il me semble qu’il s’agit de quelque chose tel que « le bruit de la mer » en gallois, enfin, je le porte anglicisé, il est vrai. Il n’empêche, la plus part des gens préfèrent m’appeler Merry, même si ce surnom n’a pas de lien direct avec mon réel prénom. Le second lui, est celui d’une héroïne d’une histoire celtique très populaire, celle de Tristan et Yseult. Cette fois-ci, c’est ma mère, grande amatrice de littérature et de tragédies amoureuses qui en a fait le choix.
Famille et réputation Mon nom de famille est celui de mon père gallois, Jones. C'est un patronyme assez courant en Angleterre mais notre arbre généalogique certifie que notre famille est enracinée au Pays de Galles depuis quelques générations déjà. Jones est une variante médiéval du prénom Jon ou John qui lui même vient de l'hébreu et signifie Dieu fait grâce. Bien que je ne porte pas d'intérêt particulier à la religion, ce nom de famille assez commun me convient parfaitement ; remarquez, je n'ai pas vraiment d'autres choix que de m'y acclimater !
Baguette magique Comme tous les sorciers, j’ai obtenu ma première baguette à l’âge d’onze ans et possède encore la même à l’heure actuelle. Celle-ci est faite en bois de sorbier, assez maniable et longue de vingt-huit centimètres. Contenant du crin de licorne, ma baguette m’est en quelque sortes, mon plus fidèle compagnon et se trouve être d’une efficacité remarquable lors de sortilèges de défenses.
Forme du patronus Je ne suis pas un patronus très commun, je suis un oiseau de petite taille et exotique, classé parmi les oiseaux-mouches. Le battement de mes ailes est le plus rapide, jusqu’à quatre-vingt par seconde. En plus d’être rapide et de pouvoir pratiquer le vol stationnaire, je suis gracieux et discret. Alors, qui suis-je ? Qui suis-je ? Nirondelle ! Un colibriiiii !
Forme de l'Epouventard Ce n’est pas très glorifiant à avouer, et certains ne comprendront jamais, mais lorsque je me retrouve face à un Epouventard, celui-ci prend la forme d’un clown ; depuis que je suis gamine, ces personnages m’apparaissent comme démoniaque, dans mes meilleurs jours, je ne leur trouve qu’un air psychopathique avec leur grands yeux exorbités, leurs maquillages atroces et leurs guenilles multicolores, alors c’est vous dire à quel point j’en ai la phobie !
Animaux possédés Je suis allergique aux poils de chiens, je suis pas une grand fan de crapaud, les lézards m’échappent toujours, alors évidemment, le choix était plutôt restreint, vous pensez bien… J’avais un chat lors de ma scolarité à Poudlard, un persan qui répondait au doux nom de Bouboule (j’avais onze ans quand je l’ai eu, pardonnez le manque d’imagination) mais qui malheureusement est décédé dans sa quatorzième année de vie. Depuis, j’ai fait l’acquisition d’un autre matou, un sacré de Birmanie cette fois, qui lui se prénomme Chewbacca (oui, non, en fait, l’imagination, elle doit pas dépendre de l’âge finalement.)
Orientation sexuelle Bien que je n’ai rien contre les homosexuelles et au risque d’en décevoir (on sait jamais quoi), je suis hétérosexuelle et surtout, célibataire mais là encore, c’est pas le sujet.
Transplanage ou balai ? En plus de ma phobie des clowns, j’ai le vertige, alors pour le balais, vous repasserez une autre fois s’il vous plaît ! Je n’ai rien contre, c’est juste que j’ai failli rendre ma part de tarte à la mélasse lors du premier cours de vol ; du coup, lors des matchs de Quidditch, le rôle de supporter me convient tout à fait ! Je me suis donc habituée à transplaner lorsque j’ai quitté l’école, mais sinon, étant de sang-mêlé, j’ai appris à conduire ce que les moldus appellent une voiture même si là encore, je n’en suis pas une grande amatrice.
Études suivies Après avoir obtenu mes ASPICS avec une moyenne plutôt acceptable, j’ai suivi le cursus de médicomagie qui m’a permis d’obtenir ce poste d’infirmière à Poudlard. J’en suis d’ailleurs contente, j’ai un métier stable et enrichissant tout en restant dans l’école où j’ai forgé tant de souvenirs !
Matières préférées et détestées J’aimais beaucoup les cours de potions, de sortilèges et d’histoire de la magie. Ah la divination également ! Je me rappelle que je ne travaillais pas beaucoup cette discipline, c’était plutôt une prolongation de la récréation pour moi, oui, lire l’avenir dans le marc de cafés, c’était pas trop ma tasse de thé *sors* Effectivement, un apprentissage du sens de l’humour, ça m’aurait été plus utile. Sinon, je détestais les cours de vols –forcément- et à partir de la deuxième année, j’ai laissé tomber ceux-ci pour les cours d’escrime, mais je dois avouer que je manie la baguette mieux que le fleuret même si je n'étais pas si mauvaise que ça au final.
Cap sur l'avenir Je ne suis pas du genre à m’appitoyer sur mon sort et si au niveau professionnel, je n’ai pour le moment pas de soucis, je dirais que me retrouver dans une relation amoureuse stable et saine serait une potentielle ambition pour l’avenir. En effet, il semblerait que les relations dévastatrices ou compliqués me poursuivent comme des aimants, c’est pourquoi je me suis résignée à être seule plutôt que mal accompagnée. Mais je persiste à croire qu’un jouuuur mon prince vieeeendra ! ♪
Dans cette partie nous vous demandons de répondre à des questions précises. Les réponses doivent concerner votre personnage et ce qu'il en pense. Comme l'exercice peut paraître fastidieux, sur le panel des questions qui vous est proposé vous devez obligatoirement répondre à cinq questions. À cinq questions de votre choix. Vous remarquerez que pour certaines des questions moldus ou sorciers ne peuvent pas répondre correctement, vous pouvez soit relever le challenge, soit en prendre une autre, il y en a suffisamment pour tout le monde. Bien entendu pour les plus courageux et inspirés vous pouvez répondre à plus voire à toutes les questions.
Quel est votre avis sur les moldus ? Etant née de l’union entre une sorcière de sang-mêlé et d’un moldu, vous pensez bien que je côtoie ces derniers depuis ma plus tendre enfance. Je les aime bien. Ils ont cette particularité d’être dénué de magie et pourtant d’arriver à créer des gadgets tous plus fascinants les uns que les autres ! Je ne les considère pas non plus comme une sous-espèce ; et même s’ils sont désavantagés quant à l’absence de magie dans leur sang, ils savent tirer parti de leurs compétences. Mais, comme chez les sorciers, les intentions de certains peuvent être néfastes.
Que est votre avis sur les cracmols ? Assez mitigé je dirais. D'un côté, je pense que les cracmols ont un peu le même effet sur les sorciers que les sans abris sur les moldus. Ils inspirent la pitié, ils ont été privé de quelque chose de merveilleux et sont donc un peu les parias de la société magique ; certains les rejettent, d'autres les tolèrent, une part encore les acceptent comme tel. Personnellement, je ne pense pas qu'être doué ou non de magie change véritablement quelque chose à votre personnalité ; certains sorciers ne valent pas dix sous et je connais des cracmols très charmants et à l'expérience de vie tout à fait enrichissante.
Que vous inspirent ceux qui pensent que l'être humain se doit de suivre un modèle bien précis ? Il ne faut être ni trop grand, ni trop petit, ni trop maigre, ni trop enveloppé. Il ne faut pas être trop intelligent, mais pas débile non plus ; il ne faut pas être déluré mais pas trop coincé, il ne faut pas être trop méchant ni trop aimable, il faut avoir sa propre opinion, mais choisir un camp… Foutaises, oui ! L’être humain est libre, libre de penser ce qu’il veut, de dire ce qu’il veut, d’être qui il veut. Soyez-vous-même et poursuivez ainsi, tant que ça vous convient, ne vous souciez pas de l’avis des autres. Nous sommes plus de sept milliards sur la planète, ne laissez pas une poignée de gens dicter votre vie. C’est ce que je pense personnellement.
Est-ce une bonne chose que les moldus apprennent l'existence des sorciers ? Malgré tout le respect que je leur porte, je pense que cette nouvelle a des bons comme des mauvais côtés, et surtout des mauvais côtés. Je n’ai rien contre le fait qu’ils connaissent notre nature à proprement parler, mais je crains les conséquences. Du côté des sorciers, comme des moldus, il y a des lots d’extrémistes qui ne voudront que se faire entendre ; certains sorciers détestent les moldus et certains moldus doivent sans doute craindre les sorciers, quitte à les voir comme des bêtes de foires, des anomalies ou encore les jalouser. Mon avis sur la question est donc plutôt mitigé. Seul l’avenir pourra répondre correctement je pense.
D'après vous, que va-t-il arriver dans un futur proche ? Le futur est une notion plutôt abstraite, chacun peu lui donner la forme dont il rêve, personnellement, j'attends de voir les conséquences des événements récents, j'espère juste qu'il n'augurera pas quelque chose mauvais.
| Je suis moldu et je me soigne. | rachel bilson ϟ anna ϟ j'suis centenaire, mais bien conservée *out*
Personnage inventé, poste vacant ou scénario ? Personnage inventé ! Multicomptes ou fraîchement arrivé ? (à préciser pour les multicomptes) J'vous apporte un peu de sang frais :3 Activité prévue sur le forum (7/7) : 5/7 de présence Comment êtes-vous arrivé sur MM ? ça fait un p'tit bout de temps que je tourne autour, j'ai déjà donné dans les forums hp, mais j'ai eu le coup de coeur, alors j'ai pas su résister Un petit commentaire pour la fin ? les Scroutts à pétard, cey chou. (a) Au fait, le code du règlement, tu peux nous le dire ? Alice est passée par là!
(c) livejournal & tumblr
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Dernière édition par Meredith Y. Jones le Mer 3 Juil - 10:44, édité 15 fois |
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| Sujet: Re: merry ∞ i'm not weird, i'm really really cool... sometimes. Mer 29 Mai - 16:53 | |
| | Prologue
28 décembre 2018. |
Elle est assise à sa fenêtre sur un fauteuil ancien et trop moelleux, le regard perdu dans le lointain. Ses cheveux châtains et mi longs lui tombent en cascade sur ses épaules, masquant quelques ecchymoses sur son cou et ses omoplates. Son visage est grave, prêt à se décomposer à la moindre tension émotionnelle. Elle porte un sweatshirt délavé et trop grand pour elle de même qu’un pantalon de jogging pas plus à sa taille ; mais ils permettent de masquer les brûlures et les bandages qui couvrent d’autres parties de son corps. Elle a ramené ses jambes contre elle, les encerclant de ses bras frêles. Sa tête est délicatement posée sur ses genoux. Elle pense. Elle pense qu’elle ne devrait pas penser, qu’elle devrait se vider l’esprit, que c’est mal de ressasser les derniers évènements et qu’il faut aller de l’avant, mais elle n’y arrive pas. On dit que le temps guérit les blessures mais que faire quand le temps vous paraît long et que les plaies physiques comme moral sont encore vives, douloureuses ? Devant ses yeux, de l’autre côté de la vitre, les éléments se déchaînent. Tout n’est que tumulte, brume et chaos, comme si la météo se calquait sur l’état de son esprit. La pluie tombe. Des nuages gris chargent le ciel. Son vieil arbre ploie sous la puissance du vent. Un peu plus loin, près du verger, le tourniquet de son enfance crisse lentement. L'herbe se plie aux forces de la nature, formant sur le sol une masse verdâtre et difforme. La boue semble partout. Les ténèbres aussi. Trônant dans le ciel, le premier quart de la lune illumine ce paysage, trainant derrière lui une cape d'étoiles incandescentes. C'est la seule source de lumière. La seule beauté de la scène. La seule source d'espoir. Du moins, jusqu'à ce qu'elle passe derrière un altostratus. L'univers de la jeune fille s'assombrit alors. Les ombres du soir deviennent menaçantes. Sa respiration se fait plus saccadée, une brise glacée lui parcours le dos, faisant frissonner tout son être. Elle s’enfonce les ongles dans les bras, tente de retrouver un peu de contenance et expire lentement. Elle se sent seule, plus que jamais. Au dehors, le vent bat toujours les branches des arbres, provoquant un long sifflement, comme une plainte stridente aux travers des épingles des conifères. La mauvaise isolation de la pièce laisse passer ces sons, ces odeurs d’humus et d’eau qui vienne lui titiller les narines, donnant un côté plutôt glauque à l’atmosphère et à la situation actuelle. Puis, un bruit léger mais régulier vient la tirer de sa torpeur. Des pas. Des pas qu’elle reconnaîtrait entre milles ; ceux de son frère. Il arrive. La porte de sa chambre s’ouvre à la volée. Elle tourne la tête, porte son regard vers l’encadrement de la porte où se trouve son frère. A ce moment précis, elle se sent libérée d’un poids, elle voudrait lui sourire timidement mais ses traits sont crispés et elle sent qu’elle va bientôt lâcher prise et craquer. Son frère se précipite vers elle et la prends immédiatement dans ses bras, robustes et protecteurs. Elle se laisse aller contre lui et quitte le fauteuil où elle s’était nichée pour se tenir sur ses deux jambes. Elle s’abandonne. Ferme les yeux et respire à nouveau calmement. Elle plonge sa tête dans le creux de son cou, hume son odeur. C’est son seul repère à l’heure actuelle, sa bouée de sauvetage, l’ancre de son bateau, la lumière de son phare. Elle presse tout son corps contre le sien, les enveloppant dans un cocon de tendresse fraternelle. Un sentiment de sécurité s’empare d’elle. Ils ne parlent pas, ils sont juste là, à se serrer l’un l’autre dans les bras. Ses chevilles tremblent ; ses jambes vont bientôt fléchir. Son frère semble comprendre et l’attire jusqu’à son lit où ils s’assoient tous les deux. Toujours dans ses bras, la tête posée sur le torse de son frère, la jeune fille relâche toute pression et laisse couler ces larmes qu’elle avait tant refoulées et retenues au cours de la journée. Des sanglots étouffés. Des caresses réconfortantes. Alors que sa respiration se fait plus calme et régulière, il déclare : « Dès que j’ai appris, j’ai fait aussi vite que j’ai pu. » A ces mots, elle resserre son étreinte contre lui et se laisse bercer par le son de sa voix, virile mais rassurante. Il passe son bras autour de ses épaules et pose sa joue contre le sommet du crâne de sa sœur. Il calque son souffle sur le sien. Comme s’ils ne faisaient qu’un. Et elle attend. Compte les secondes. Laisse l'horloge tourner. Le temps s'écouler. Pour que, enfin, la chaleur de la pièce revienne. Que sa fenêtre dégèle. Que le bien-être renaisse. « Ça va aller, je te le promets. » Il s’écarte d’elle et la regarde dans les yeux. Une esquisse de sourire se dessine sur leurs lèvres respectives même si au fond d’eux, ils ne ressentent qu’un tourbillon de désespoir. Elle ferme les yeux et dans un souffle, prononce un cours « Merci ». Il ne comprend pas vraiment pourquoi mais ne relève pas. Il la reprend dans ses bras et chantonne une douce mélodie. Il est temps d’effacer les cernes de ce visage, pense-t-il. Les yeux toujours clos, elle ne bronche pas et écoute. Il poursuit sa berceuse jusqu’à ce qu’elle s’endorme. C’est son grand-frère, c’est son devoir. Même si elle n’a plus quatre ans mais quinze, il sera toujours là pour elle. Lentement, il se dégage et l’allonge sur le lit, la recouvre de la couette en duvet d’oie. Après s’être assuré qu’elle n’aurait pas froid, il se relève et s’approche de la porte. La main sur l’interrupteur, il déclare, avant d’éteindre la lumière : « Dors bien. Demain est un autre jour. Concentre-toi sur l’avenir, ne reste pas bloquée dans le passé. Maman n’est peut-être plus là, mais elle aurait aimé que tu vives, que tu ries, que tu aimes. Alors bats-toi, petite sœur. » Inconsciemment, cette phrase s’est ancrée dans son subconscient. Plus résistance qu’une bactérie, plus coriace qu’un virus, une graine, un germe, une idée, un principe. Les idées qui germent dans notre esprit façonnent nos actions. Alors elle s’est battue, elle s’est faite entendre et elle a parcouru un chemin tortueux et semé d’embûches mais c’est ce chemin qui lui a permis d’être celle qu’elle est aujourd’hui ; notre petite Meredith. | Chapitre un
3 janvier 2019 |
« C’est fou toute la pluie qui est tombée d’un seul coup ! » Meredith, assise sur le siège passager se tourne vers sa mère, pleine de joie de vivre, sourire aux lèvres, paillettes dans les yeux. « C’est vrai, mais ça nous donne une excuse pour rester tranquillement à la maison… » Son interlocutrice lui jette un bref regard en arquant un sourcil avant de reporter son attention sur la route, souriante également. Le temps n’avait pas d’importance ; elles étaient bien toutes les deux à ce moment-là. L’adolescente aimait beaucoup passer du temps avec sa mère, c’était comme un double plus âgé pour elle. Elle savait qu’elle pourrait toujours compter sur elle et qu’elle la comprendrait toujours, qu’importe ces choix, qu’importe ce qu’il advienne. Mère et fille venaient de sortir d’un magasin de grande distribution moldue et étaient sur le chemin du retour. Dans les magasins, tout sentait encore les fêtes de Noël, les cadeaux, le pain d’épices, les sucres d’orges, le lait de poule, l’amour. Pour la première fois cette année, la petite famille galloise avait passé un Noël entièrement moldu, dénué de toute trace de magie. Meredith, bien qu’elle concède ne pouvoir vivre sans sa baguette, avait particulièrement apprécié la simplicité de la fête. Ils avaient tous passés un bon moment, plein de joie, de chaleur, de tendresse. La photo qu’ils avaient prise ce jour-là reflétait le portrait d’une famille heureuse et modèle. Cependant, toute bonne chose à une fin. Les évènements se sont enchaînés avec rapidité, tout devenait vif, flou, irrégulier. Merry était en train de dire quelque chose à sa mère, mais elle ne sait plus quoi, sa mère, elle avait déporté son attention de la route. Juste pour quelques secondes, juste un bref instant, juste le temps d’un battement de cils. Et c’en était fini. Le choc. L’autre voiture avait dévié à cause de la pluie, celle de la sorcière a fini sa course dans un fossé en contrebas, enfoncée dans un arbre. La tête de Meredith tournait, un bourdonnement sifflait dans ses tympans, l’arôme âcre du sang lui emplissait la bouche et elle avait une irrépressible envie de sombrer dans le sommeil, un sommeil profond, stable, et éternel. Dans un dernier élan de force, son visage se retourna vers celui de sa mère, reposant sur l’airbag du volant. Du sang coulait le long de son crâne, ses bras ballants pendaient dans le vide, seule la ceinture de sécurité la retenait encore. Pantin désarticulé. Cœur fané et âme envolée. Le cœur de la petite Meredith se mit à battre la chamade, une migraine soudaine lui lancina le crâne. Non, ce n’était pas possible. Pas elle, pas sa mère, pas maintenant, pas…
Le sifflement du train extrait la jeune femme des bras de Morphée. Meredith ouvre soudain les yeux et se rassied dans un sursaut. Elle déglutit et cligne plusieurs fois des yeux. Ce n’était qu’un rêve, un mauvais rêve. Pourtant, il semblait si proche de la réalité… comme un souvenir. Elle reprend son souffle lentement et regarde autour d’elle. Le compartiment du train où elle s’était installée était vide. Beaucoup d’élèves étaient au courant pour l’accident et avaient décidé de la laisser tranquille et ce n’était pas pour lui déplaire. Néanmoins, elle se sentait seule, terriblement seule. Et rien n’était –pour l’heure- possible pour combler ce manque. Après avoir jeté un bref coup d’œil à sa montre –qui lui indiquait qu’elle ne s’était pas assoupie bien longtemps et que le trajet serait encore long, elle se perdit dans la contemplation du paysage jusqu’à ce le coulissement de la porte n’attire son attention. Sur le seuil du compartiment se trouvait Adrian Fitz, un Gryffondor venu d’Irlande aussi assidu en cours qu’un scrout-à-pétard devant une caisse de cookies mais excellent poursuiveur au Quidditch et –faut bien l’avouer- d’une beauté à tomber par terre, sans pouvoir remonter sur votre chaise. Il avait alors le même âge que la Poufsouffle qui d’ailleurs, le dévisageait du coin de l’œil durant les cours qu’ils avaient en commun. Le rouge et or donc, affiche une mine désolée et déclare : « Ah. Pardon, je pensais qu’c’était vide et je… » Avant même qu’il ne puisse finir sa phrase, l’adolescente s’empresse de lui rétorquer, un sourire plutôt timide aux lèvres : « Nan nan, c’est bon, tu peux venir. Y a aucun souci. » Pour toute réponse, son interlocuteur lui rend son sourire, saisit le sac qui trainait à ses pieds et s’assoie dans la diagonale de Meredith, du côté de la porte. Dans un premier temps, aucun des deux n’a parlé. Ils essayaient de trouver une occupation potable chacun de leur côté, à leur manière. La Poufsouffle ne comprenait pas vraiment ce qu’il faisait là, il était plutôt populaire et c’était donc rare de le voir seul ; cependant, elle ne relève pas et continue à détailler le paysage défilant. Jusqu’à ce qu’Adrian fasse un boucan monstre en farfouillant dans tous les recoins de son sac pour trouver ce qui semblait être un livre. Mais pas n’importe lequel, de la littérature moldue, un ouvrage assez célèbre dans leur monde d’ailleurs mais comme souvent, méconnu des sorciers. Du moins, c’est ce que pensait Meredith puisqu’elle n’avait jamais vraiment vu ou entendu quelqu’un parler de « Toutes ces choses qu’on ne s’est pas dites » de Marc Levy. Après tout, en plus d’être moldu, l’écrivain était français ce qui l’avait poussée à réduire le nombre de lecteur potentiels avec qui échanger son avis sur l’ouvrage. Meredith se repris à deux fois pour être certaine qu’il s’agisse du même livre et sa stupéfaction avait fini par attirer l’attention du jeune homme qui lâche un bref mais non moins enjoué « Quoi ? » Ce à quoi, elle répond prestement : « Oh, rien, je savais pas que tu lisais ce genre de bouquin. Je pensais être la seule à le connaître. » « Naaooon, toi aussi t’aime bien ? » mine étonnée de son côté également. « Tu veux rire, oui ! J’adore. Les moldus ne sont pas si nuls que certains l’affirme, surtout en matière d’écriture ! Ils s’embrassèrent et leur baiser dura, semblable à celui de deux amants qui s’aiment au point d’en oublier le reste du monde. » Il reconnaît la citation, lui en récite une autre et il continue ainsi à bavarder, à discuter, à critiquer, ils apprennent à connaître l’autre, l’apprivoisent. L'espace qui les séparait se ressèrent, bientôt, ils sont assis l'un à côté de l'autre, se regardent les yeux dans les yeux emplis de paillettes comme si l'un lisait l'âme de l'autre. Elle se sent mieux, il a même réussit à la faire rire. Le son de sa voix la réconforte, ses récits l’intrigues, elle boit ses paroles, les imprime en elle. Il lui parle de lui, de sa vie, du divorce de ses parents, de son frère avec qui il partage une relation très forte et qui réprésente beaucoup pour lui, qu’il se passionne pour beaucoup de choses, que, petit, il s’était inventé un ami imaginaire, appelé Michael, parce qu’il n’avait pas vraiment d’amis, qu’en fait, sa popularité à Poudlard vient d’un p’tit coup de chance et qu’il pense que sans culot, on obtient rien dans la vie. Alors, à son tour, elle se confesse, lui parle d’elle, de son passé, lui parle de ses projets d’étude de médicomagie, puis elle lui dit ce qu’elle a sur le cœur à l’heure actuelle ; pour la première fois, elle avoue ses sentiments, son ressenti concernant l’accident et cette sensation de solitude qui la parcourt depuis. Et là, en moins d’une journée se produit quelque chose de miraculeux, quelque chose d’inattendu, quelque chose que seul le cœur et la volonté peuvent permettre. Ils deviennent amis. Des confidents, même. Et, c’est un peu grâce à Adrian qui lui communiquait sa motivation, grâce à d’autres camarades qui l’épaulaient et grâce à une nouvelle volonté retrouvée que Meredith a tenu le coup et a terminé son année, empochant ses BUSES et débutant sa préparation vers un avenir qu’elle espérait plus serein.
| Chapitre deux
12 août 2021 |
Fourchettes et couteaux s’entrechoquent, les verres se vident avant de se remplir à nouveau de ce précieux nectar, tout droit venu de France, léger et frais, sec, un rosé cuvée de deux mille dix-neuf, vendange tardive comme on dit. Mais Merry n’en boit pas, elle ne touche pas à l’alcool, pas devant son père en tout cas. Celui-ci est assis face à elle et mange goulûment, ses yeux considérant chaque personne assise à table. A sa droite, sa nouvelle épouse, Jennifer, une moldue quarantenaire, blonde, un peu écervelée et surtout, ignorant que la progéniture de son cher mari était des sorciers. Sur la droite de cette dernière également, son fils, Jackson, qui a tout juste quinze ans, une coupe iroquoise pire qu’has been et un air insolent lamentable. Face à lui, un siège vide. Celui que le frère aîné de Meredith devrait occuper. Seulement, il n’est pas venu à ce « repas de famille » comme aime appeler son père ces soirées moroses où ils se liguent tous contre elle, pour la seule raison qu’elle a quelque chose d’un tantinet différent. Bref ; pour excuse, il prétexte avoir « d’autres priorités. Tu sais, j’ai une femme et un enfant maintenant ! Et puis, c’est plus pareil. Je passerais te voir quand même, promis. » La poufsouffle ne pouvait pas lui en vouloir, il construit sa vie, il décide de ses choix. En réalité, elle le jalouse un peu qu’il ait une excuse valable aux yeux de celui qui se dit être leur géniteur pour ne pas assister à cette scène de conflit familial. La jeune femme, qui vient tout juste de décrocher ses ASPICS avec un moyenne d’Effort Exceptionnel, mangeen silence, les yeux rivés sur son assiette, priant pour qu’on l’oublie, que personne ne la sorte de sa petite bulle qu’elle s’était entraînée à gonfler durant toute l’après-midi. Son père ne tient jamais à respecter ses vœux intérieurs, semble-t-il. « Alors, Merry, commence-t-il d’une voix mi-lasse mi-dubitative, tu prévois de suivre quel cursus, l’année prochaine ? » L’intéressée relève la tête et plonge ses iris marron dans ceux de son père. Elle affiche une mine froide et distante et se prendle temps de bien mâcher et avaler le morceau de viande qu’elle vient d’enfourner. Depuis la mort de sa femme, le père de Merry était un autre aux yeux de sa vie. A la fois aveuglée par l’égoïsme et pleurant l’absence douloureuse de sa mère, Merry avait du mal à digérer le fait que son père ai pu se remarier. Elle ne comprenait pas pourquoi, elle avait le sentiment qu’il trahissait sa défunte femme, qu’il la reniait elle par la même occasion. Elle le trouvait lâche et de son côté, son père ne faisait rien pour tenter d’arranger la tension entre eux. Depuis le décès de sa femme, le respect qu’il éprouvait envers les sorciers c’est comme envolé. Il n’en voulait plus, de cette magie. Alors, il a choisi de ne rien dire à sa nouvelle femme, concernant la véritable nature de ses enfants, de leurs pouvoirs, de cet étrange internat dans lequel ils allaient. Les relations et les contacts qu’il partage depuis lors avec sa fille sont plutôt limités et sont souvent source de conflit, comme à l’heure actuelle. « Médico…médecine., se reprend-t-elle. J’aimerais devenir infirmière. » « Infirmière ? répliqua-t-il en manquant de me rire au nez. Je te savais plus ambitieuse. Tu ne voulais pas devenir une redoutable avocate ? » « Non. Je veux aider des gens, les soigner, leur rendre services, sauver des vies même. Et la seule chose que je redoute vraiment, c’est de devoir revenir ici à chaque vacance. » Le père de Meredith, considérant que cette fois-ci, elle y va un peu fort, s’agite, il affiche une moue colérique et le son de sa voix s’allourdit. « Ne me parle pas sur ce ton, jeune fille. » « Si tu ne m’adressais pas la parole, je n’aurais pas à le faire. » Zac. La colère monte encore d’un cran, des deux côtés. Chacun est poussé à bout, en a plus qu’assez de tout ce manège. Les deux autres mangent en silence, assistant à la scène comme deux abrutis hébétés devant un écran géant au cinéma, le chou-fleur remplaçant le pop-corn. « Je le répète, ne me parle pas sur ce ton. » « J’en fais de même, lâche moi. » Coup d’éclat, la rage lui monte aux joues, le père gronde comme le tonnerre. « Pas étonnant que personne ne vienne gratter à ta porte ; putain ! C’est impossible de tenir une conversation avec toi ! » Outrée par la remarque, Meredith se lève d’un bond, remontée à bloc, le feu aux tempes, animée par une impulsivité et une colère encore jamais ressentie auparavant. Comme un oiseau prisonnier d’une cage et qui cherchait à s’en échapper en implosant, un cri strident voulait s’échapper de sa gorge. La seule chose qu’elle parvint à faire fût celle de balayer son assiette d’un geste vif de la main puis de décamper en claquant la porte après avoir ajouté : « Je crois que c’est bien notre seul point commun. »
| Chapitre trois
Septembre 2033 |
La théière siffle avec ardeur comme pour hurler aux oreilles de Meredith : « drink me, drink me, drink meeeee ! ». Celle-ci est assise sur un fauteuil, les pieds sous son bureau, le nez dans des dossiers et ne fait pas attention au bruit que fait l’objet moldu. Même si l’avancée technologique et même magique lui permettrait de se faire une bonne tasse d’Earl Grey d’une façon plus rapide et plus discrète, la sorcière s’entête à utiliser cette relique qu’elle a trouvée dans une brocante dans une rue de Londres il y a quelques temps déjà. Ses courbes élégantes et sa blancheur de porcelaine française l’avait charmée en plus de lui rappeler une flopée de souvenirs notamment ces après-midi où elle se rendait chez sa grand-mère qui l’attendait avec une tasse de thé au jasmin et des petits biscuits maison. Elle-même trouvait cette notion un peu idiote, mais étrangement, cette théière la rassurait. Et elle avait besoin de beaucoup de confiance en elle pour cette nouvelle rentrée à Poudlard –bien que la cérémoni de répartition ait déjà eu lieu il y a deux jours- mais cette fois, en tant qu’infirmière, pas élève. C’était déjà sa troisième année ici mais l’excitation du début d’année, le trac de rater quelque chose ou encore l’impatience de découvrir les nouveaux élèves ne la quittait pas. Eh oui, comme elle l’avait annoncé à son père, l’ancienne Poufsouffle avait suivi un cursus de médicomagie et empoché son diplôme avec succès avant de suivre une formation complémentaire à Ste-Mangouste afin d’acquérir le titre d’infirmière. Merry était fière de son parcours ; elle le considérait comme une revanche sur son père et sur sa vie en générale. La théière se tut finalement et la jeune femme se leva lentement et se dirigea vers celle-ci. Etant brûlante, elle la prit avec précaution et versa son contenu dans un tasse. S’en suivit un nuage de lait et un petit sucre. La boisson coule le long de son œsophage et la réchauffe. A chaque gorgée, l’arôme s’imprègne un peu plus dans sa mémoire olfactive. Un auteur, Marcel Proust, s’était penché sur la question : « Mais, quand d'un passé ancien rien ne subsiste, après la mort des êtres, après la destruction des choses, seules, plus frêles mais plus vivaces, plus immatérielles, plus persistantes, plus fidèles, l'odeur et la saveur restent encore longtemps, comme des âmes, à porter sans fléchir l'édifice immense du souvenir. ». Meredith ferma les yeux et bus encore une gorgée, debout face à une des baies vitrées de son bureau, au fond de l’infirmerie. Elle inspira profondément puis rouvrit les yeux et porta son regard sur la vue qui lui était offerte. Elle en avait eu besoin d’une revanche sur sa vie d’ailleurs. Elle n’a jamais été comme qui dirait « rêvée » mais certains moments ont été plus difficiles que d’autres. Sa vie amoureuse notamment. Meredith avait passé tout le reste de sa scolarité avec Adrian, cet irlandais dont elle avait fait la rencontre dans le train. Au fil du temps, ils sont devenus de très bons amis et la galloise en est même tombée amoureuse, éperdument, passionnément. Cliché, n’est-ce pas ? Ils sont tout de même sortis ensemble, de la septième à la neuvième année, un petit couple mignon et adulé. Jusqu’à ce que la mort ne les sépare. Pas d’inquiétude, le bel Adrian est toujours de ce monde, ce qui n’est pas le cas de son frère, dont il était étonnamment proche. Meredith connaissant le ressenti des gens lors de la perte d’un proche, elle voulait aider son petit-ami, mais il a changé, il est devenu froid, distant, il s’est refermé sur lui-même. Il l’a quitté, lui a dit qu’il ne voulait pas de sa pitié, de son « aide ». ll s’est emmuré dans un silence lourd et pesant et rien ne réussissait à lui décocher une esquisse de sourire. Cependant, durant leur dernière année de médicomagie, Merry ne s’est pas laissé abattre, à chaque cours, elle tentait de briser le silence, elle lui parlait, lui faisait comprendre qu’elle était là et à chaque fois, il la rembarrait, l’envoyait voir ailleurs, se montrait plutôt blessant. L’ancienne Poufsouffle en avait beaucoup souffert, ça lui faisait mal de le voir ainsi mais également de voir comment il l’a traitait après ce drame. L’année passa, le diplôme fût acquit et leurs chemins se séparèrent. Cependant, sept autres années s’écoulèrent et Meredith ne cessait pas de penser à lui, au fond de son esprit. Elle s’est promis que, si elle le revoit un jour, elle ne lâchera pas l’affaire. Une nouvelle inspiration, une autre gorgée et dans un étrange vacarme le silence fût brisé. Merry se retourna d’un coup et laissa ses souvenirs de côté au profit de son poste d’infirmière souriante, serviable et attentionnée. Devant la porte, deux élèves de quatrième année en tenait un autre, visiblement bien amoché, sans doute dû à une chute d’un balai au vu de l’angle bizarre qu’effectuait son bras et des nombreux hématomes sur son épaule découverte. « Nom d’un troll ! Que lui ait il arrivé ?! » Ah, malgré tous les hauts et les bas, les bon comme les mauvais moments, ce que c’était paisible d’être de retour à Poudlard !
(c) tumblr, blinizz sucré
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Dernière édition par Meredith Y. Jones le Mer 3 Juil - 10:42, édité 15 fois |
| | | Alice M. Ewing L'ambition de Salazard. Ruse & pouvoir. ϟ Parchemins : 264 ϟ Célébrité : nina dobrev
| Sujet: Re: merry ∞ i'm not weird, i'm really really cool... sometimes. Mer 29 Mai - 17:32 | |
| Bienvenue sur MM, merci de t'être inscrite! Je file te réserver la demoiselle & je valide ton code, et je te souhaite un bon courage pour l'écriture de ta fiche puisque tu as en théorie 15 jours pour la boucler mais tu peux nous demander un petit délai si tu sens que ça va être juste. Et si tu as la moindre question, n'hésite pas, nous nous efforcerons d'y répondre au mieux |
| | | Meredith Y. Jones La passion de Poudlard. Professeurs & personnel. ϟ Parchemins : 18 ϟ Célébrité : Rachel Bilson
| Sujet: Re: merry ∞ i'm not weird, i'm really really cool... sometimes. Mer 29 Mai - 17:36 | |
| Merci beaucoup Alice, je n'hésiterais pas à mp un membre du staff au moindre doute |
| | | Synthia Eden Grey Ambitieuse préfète de Salazard. Ruse, pouvoir & responsabilités ϟ Parchemins : 1638 ϟ Célébrité : Juno Temple
| Sujet: Re: merry ∞ i'm not weird, i'm really really cool... sometimes. Mer 29 Mai - 20:59 | |
| Helloooo et bienvenue chez nous Tout a déjà été dit, n'hésite surtout pas pour les questions ! Par contre, je ne sais pas si Alice t'avais déjà mise au courant mais nous avons déjà une Coleen L. Spark sur le forum. Je te préviens simplement si tu voulais faire original ou si tu n'es pas du genre à aimer "partager" un nom de famille. |
| | | Dorian Quiguer La passion de Poudlard. Professeurs & personnel. ϟ Parchemins : 1211 ϟ Célébrité : Matthew Bomer
| Sujet: Re: merry ∞ i'm not weird, i'm really really cool... sometimes. Jeu 30 Mai - 16:01 | |
| Bienvenue à toi jeune infirmière Enfin quelqu'un qui sera là pour s'occuper de nos petits blessés Bon courage pour ta fiche! |
| | | Meredith Y. Jones La passion de Poudlard. Professeurs & personnel. ϟ Parchemins : 18 ϟ Célébrité : Rachel Bilson
| Sujet: Re: merry ∞ i'm not weird, i'm really really cool... sometimes. Ven 31 Mai - 15:43 | |
| Synthia → Merci beaucoup Pour te répondre, je n'étais pas du tout au courant mais ça ne me gêne pas de changer de nom de famille, j'hésitais déjà au départ entre deux à vrai dire ; du coup, ça me permet de trancher en quelques sortes. Ce serait donc possible de remplacer Sparks par Jones ? Merci d'avance ! Dorian → Bomer Merci beaucoup |
| | | Synthia Eden Grey Ambitieuse préfète de Salazard. Ruse, pouvoir & responsabilités ϟ Parchemins : 1638 ϟ Célébrité : Juno Temple
| Sujet: Re: merry ∞ i'm not weird, i'm really really cool... sometimes. Ven 31 Mai - 20:06 | |
| Aucun soucis, je te fais le changement de suite alors. Je comptais bien te le dire au cas où que tu veuilles en changer finalement |
| | | Danaé E. Winnfield Les oubliés de la magie. Moldus & cracmols. ϟ Parchemins : 133 ϟ Célébrité : Cara Delevingne
| Sujet: Re: merry ∞ i'm not weird, i'm really really cool... sometimes. Sam 1 Juin - 13:48 | |
| Bienvenue sur le fo :**: je suis juste pas du tout fan de Bilson, mais j'adore ton pseudo, alors, je te pardonne *sors méga super loin* |
| | | Meredith Y. Jones La passion de Poudlard. Professeurs & personnel. ϟ Parchemins : 18 ϟ Célébrité : Rachel Bilson
| Sujet: Re: merry ∞ i'm not weird, i'm really really cool... sometimes. Sam 1 Juin - 18:59 | |
| Meeerci beaucoup Puis, c'est clair qu'on peux pas rivaliser avec Delevingne |
| | | Hope L. McGwen L'esprit de Rowena. Sagesse & érudition. ϟ Parchemins : 1167 ϟ Célébrité : Astrid Bergès-Frisbey
| Sujet: Re: merry ∞ i'm not weird, i'm really really cool... sometimes. Mer 5 Juin - 14:16 | |
| Les centenaires bien conservées : j'suis pour ! :rire: Résultat : bienvenue dans le coin, ah - no worries, t'aurais tout de même eu mon message de bienvenue. Good luck pour les autres chapitres - j'ai hâte de lire la suite !
Mais 30 ans pour Rachel ? Pouah, elle a quel âge dans la " vraie vie " ? :rire: && Poufsouffle : très bon choix ! |
| | | Meredith Y. Jones La passion de Poudlard. Professeurs & personnel. ϟ Parchemins : 18 ϟ Célébrité : Rachel Bilson
| Sujet: Re: merry ∞ i'm not weird, i'm really really cool... sometimes. Mer 5 Juin - 15:06 | |
| Bergès-Frisbey *-* Merci beaucoup pour l'accueil -et tout le reste aussi d'ailleurs- Concernant Rachel, elle a 31 ans irl (donc niveau conservation, elle nous fera peut-être concurrence si elle atteint son siècle, qui sait) |
| | | Meredith Y. Jones La passion de Poudlard. Professeurs & personnel. ϟ Parchemins : 18 ϟ Célébrité : Rachel Bilson
| Sujet: Re: merry ∞ i'm not weird, i'm really really cool... sometimes. Mer 3 Juil - 10:47 | |
| Pardon pour ce double post (et pour le temps que j'ai pris) mais ma fiche est terminée Merci d'avance |
| | | Alice M. Ewing L'ambition de Salazard. Ruse & pouvoir. ϟ Parchemins : 264 ϟ Célébrité : nina dobrev
| Sujet: Re: merry ∞ i'm not weird, i'm really really cool... sometimes. Mer 3 Juil - 11:00 | |
| Bonjour!
C'est pris en compte. Je vais manger et je regarde tout ça. à tout de suite! |
| | | Alice M. Ewing L'ambition de Salazard. Ruse & pouvoir. ϟ Parchemins : 264 ϟ Célébrité : nina dobrev
| Sujet: Re: merry ∞ i'm not weird, i'm really really cool... sometimes. Mer 3 Juil - 11:43 | |
| C'est re-moi (a) J'ai beaucoup aimé lire ta fiche, et découvrir ton personnage, c'est donc avec grand plaisir que je te valide! Je t'annonce aussi que tu vas avoir (un jour je sais pas quand xD) une collègue en la personne d'Eileen Wembley, un de mes DC pas encore remis en jeu et qui est également infirmière, et dans la même tranche d'âge que Meredith (quoique Eileen est plus vieille *out* ) donc il y a moyen de se faire un bon lien, entre collègues. Bon jeu sur MM!
« Bienvenue à Poudlard et merci d'avoir fait de cette école une passion. Les élèves de l'école n'ont plus qu'à bien se tenir ! » Tu peux désormais aller chercher des relations pour ton personnage en créant ta fiche de liens. Pour ensuite t'occuper de la gestion de tes sujets et entrer pleinement dans le jeu en te trouvant des partenaires de jeu. Afin que tes nouveaux compagnons puissent te contacter, n'hésite surtout pas à créer ta boîte à hiboux. N'oublie pas d'aller régulièrement réclamer tes points pour participer à la compétition !
Excellent jeu sur Mutinlutin Malinpesti !
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| | | Meredith Y. Jones La passion de Poudlard. Professeurs & personnel. ϟ Parchemins : 18 ϟ Célébrité : Rachel Bilson
| Sujet: Re: merry ∞ i'm not weird, i'm really really cool... sometimes. Mer 3 Juil - 14:20 | |
| Merci beaucoup Alice J'ai hâte de découvrir ton dc, on trouvera un lien génial, j'en suis persuadée |
| | | | Sujet: Re: merry ∞ i'm not weird, i'm really really cool... sometimes. | |
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| | | | merry ∞ i'm not weird, i'm really really cool... sometimes. | |
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