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Sam Carmichael Les sorciers du quotidien. La vie ne fait que commencer. ϟ Parchemins : 24 ϟ Célébrité : Chris Hemsworth
| Sujet: Sam Carmichael Lun 18 Nov - 18:40 | |
| Sam & Carmichael « Le regard ouvert sur un monde magique, le loup déambule en observant son environnement. Fascination pour ses âmes qu’il souhaite dévoré et plier à sa volonté. La lune est sa confidente, et lors d’une soirée intime, il lui murmure ses intentions. Sa meute reprendra sa place dans cette société qui rejette ce qui est différent. Le loup connaît la vérité, ce rejet n’est que le reflet de la peur. Un sentiment primaire que le loup dissimule derrière sa détermination d’offrir aux siens une vie meilleure. Il se tarde de rencontrer le chasseur qui souhaiterait par un acte héroïque ou maléfique de l’arrêter dans son ascension. Le loup guerrier est en marche et scrute de ses yeux dorées l’avenir prendre forme. »
Poudlard & Ancien Gryffondor ϟ 28 ans & 14 septembre 2005 à Newcastle (dans la maison familiale) ϟ Anglais ϟ Sang-mêlé ϟ Homme d’affaire dans la vente de plantes rares – propriétaire de la boutique d’apothicaire «Gold Opium » et de la boutique familiale « The Secret Garden » à Newcastle ϟ lycanthropie améliorée (A les sens développés)Moi en quelques mots Il mange que de la viande - environ 1kg par jours (cuisson : bleu de préférence) ϟ Il vit avec sa mère, ses trois frères et sa petite sœur dans la maison familiale à Newcastle ϟ A une dent contre le ministère, depuis que celui-ci à détruit son père ainsi que la réputation de toute la famille Carmichael ϟ A 16 heure, c'est l’heure du thé (son préféré le thé noir) ϟ Homme d’affaire méticuleux, il a fait fortune dans le monde des moldus en faisant de bon placement en bourse ϟ Apothicaire, il a acheté récemment la boutique le « Gold Opium » ϟ Il aime connaître ses ennemis. Au point d’en savoir plus sur eux, qu’eux-mêmes ϟ Ne se préoccupe que du bien-être de sa famille, le malheur des autres ne l’intéresse pas. Il aide les hybrides seulement parce qu’il s’agit d’une lutte que son père menait contre le ministère. ϟ Il court fréquemment, un moyen de dépenser un sur plein d’énergie ϟ Dés que Monsieur Joshua Carmichael est été envoyé à Azkaban, l’affaire fut vite enterrée par le ministère. ϟ Tout comme ses frères, Sam n’hésitera pas à tuer ceux qui se mettront sur son chemin ϟ Sa mère l’appel Samuel, le prénom qu’il aurait du avoir à la naissance ϟ Il est observateur et aime décrypter son environnement et les gens ϟ C'est un maître en potion qui possède une baguette bien particulière ϟ Ces grands-parents maternelle sont moldus ϟ Il descend tout droit d’une lignée de viking ϟ Il est très secret et a les sens développés (ouïe, la vue, l’odorat)
Histoire des prénoms
L’origine de ce prénom n’a rien d’exceptionnelle. Ses parents ont mis beaucoup de temps à se mettre d’accord. A l’origine ce devait être Samuel mais le jour de l’enregistrement, son père l’inscrit sous le prénom de « Sam ». Une soirée trop arrosée qui à fini par embrumé l’esprit du père.
Famille et réputation
Originaire des pays scandinave, la famille Carmichael est arrivée sur les terres anglaises en 870. Ils se sont installés dans le nord du pays, prés de Newcastle. Dés le début des années 20, la famille Carmichael était très influente. Elle a fait fortune dans la vente de plantes rares et fournissait des boutiques d’Apothicaires, sur le Chemin de Traverse à Londres (actuellement nommé Slug & Jiggers) ainsi que dans plusieurs villes du pays. Une boutique à même était ouverte à Newcastle par le grand-père de Sam, un médicomage, Monsieur Hector Carmichael. La boutique s’appelait « The Secret Garden », et ne pouvait être vu que par le monde magique. Elle se situait dans une petite ruelle très étroite, au fond d’une impasse. Un moldu n’y verrait qu’un mur de brique rouge, alors qu’un sorcier pouvait apercevoir une façade envahis par une plante grimpante parsemée de magnifique fleures bleus. Elle était vivante et à chaque mouvement des branches et tiges, les fleures lâchaient des petites lumières scintillantes. On aurait dit des petites lucioles. De chaque côté de la porte en bois, de grande fenêtre légèrement cachée par le branchage de la plante. Au-dessus, il était écris sur une énorme rondin en bois : « The Secret Garden » en lettre dorée. A l’intérieur, on apercevait un long comptoir. Derrière celui-ci des pots contenant des poudres, plantes, toutes sortes de dents, crocs, viscères, plumes, etc … Tous ses pots était nommés et installés sur une étagère qui prenait tout le mur. Il y avait une échelle coulissante qui permettait d’atteindre ceux du haut. Des grandes barriques étaient entreposées sur les côtés. A l’arrière de du magasin, un passage secret se trouve derrière un tableau, représentant une sirène. Il s’agit d’une galerie avec plusieurs embouchures : l’une permet de sortir sous une cabine téléphonique, une autre permettait atteindre une plage vers le phare de Whitley Bay, et une autre mène vers une impasse où se situe le coffre où l’on entreposait les plantes les plus rares. Aujourd’hui la boutique n’est plus en activité. La plante à perdu ses fleures, et ses branches sont noires. Elle attaque avec férocité les intrus. La porte est scellée par un sort (seul un membre de la famille Carmichael peut l’ouvrir). Sam a l’intention de rouvrir la boutique familiale, il la rénove avec l’aide de sa famille (ouverture en tant utile). Revenons sur les membres de la famille. La plupart des membres de la famille se tourne vers le domaine de la santé ou de la recherche. Avant l’affaire dite « Carmichael », le père de Sam, Joshua à repris l’affaire familiale. C'était un homme d’affaire intelligent et loyale. Qui avait ses propres convictions : celle que même les hybrides avaient le droit de participer à cette société magique et d’avoir les mêmes droits qu’un sorcier ou sorcière. Le jour où Joshua décida qu’il était temps de rentrer en politique et d’essayer de faire changer les mentalités, il commença à se faire connaître et trouva des soutiens parmi d’autres hommes d’affaires et familles. Jusqu'au jour où tout bascula. Actuellement, la société magique en Angleterre à oubliée cette histoire sauf quelques proches de l’affaire. Les Carmichael ont tout perdu, au point de n’être plus qu’un vague souvenir. Du côté de la maman, Rosemary Le Bihan, ce sont des Bretons. La famille de Rosemary s’est installée dans les années 30 en Angleterre. Les « Le Bihan » ne sont pas connu dans la société magique anglaise. Les parents de Rosemary sont tous deux moldus. Elle est la seconde sorcière de la famille après une cousine. Rosemary travaillait à l’époque comme secrétaire au Magenmagot. Elle arrêta lorsqu’elle accoucha de son troisième fils Seth. Ceux qui ont eu la chance de travailler avec elle, reconnaisse qu’il s’agissait d’une femme brillante et très organisée.
Baguette magique
La baguette de Sam ne vient pas d’une boutique, il s’agit d’une baguette qui était restée dans la famille. Celle d’un ancêtre viking, que le père de Sam gardait dans une boite dans le grenier. Alors que les enfants Carmichael jouaient à cache-cache dans la maison. Sam se réfugia dans le grenier et la boite explosa. Reconnaissant en Sam son nouveau maître. Il s’agit d’une baguette d’une trentaine de centimètre, flexible, contenant le croc d’un Jörmungandr, un gigantesque serpent de mer dont le venin circule dans le bois d’ébène. Loyale, cette baguette est très ancienne et à connue beaucoup de guerre sanglante. Sam est redoutable en duel et il est passé maître dans la préparation de potion et poison.
Forme du patronus
Le patronus de Sam est un castor, un animal bâtisseur qui aime s’entourer de sa famille.
Forme de l'Epouventard
Une cage où l’on peut y mettre un chien. Mais il ne s’agit pas seulement de lui mais aussi de voir les membres de sa famille dans une cage. De pas pouvoir les protéger et qu’ils soient enfermés comme des chiens.
Animaux possédés
Un chien, un bouvier bernois, qui s’appel « Filou ». Un prénom qu’il doit à Kierra, la petite sœur de Sam. Bien qu’il appartienne à Sam, Filou passe son temps à trainer avec la jeune sorcière, sauf bien sûr lorsqu’elle est à Poudlard. C'est une bonne patte qui apprécie les feux de cheminée en hiver et se rouler dans l’herbe ou les feuilles mortes en automne. Bien qu’il s’agisse d’un chien très affectueux, il n’hésitera pas à défendre sa famille.
Orientation sexuelle
Hétérosexuel. Sam attire bon nombre de femelle en chaleur. Elles minaudent ou gloussent comme des dindes sur son passage. Il fait guère attention aux signes que certaines lui lances. Trop occupé à penser à sa quête. Le physique lui import peu, il est attiré surtout par des femmes qui ont du tempérament mais qui savent ce contenir. Des mains fermes dans des gants de velours. Une femme froide mais sachant sourire. Une femme forte et fragile à la fois. C'est un homme fidèle, et lorsqu’il trouvera chaussure à son pied, ce sera pour la vie.
Transplanage ou balai ?
Plus par commodité, le transplanage. Le temps est une notion très importante pour Sam. Il a besoin de se déplace rapidement pour ses affaires. Et malgré sa grande patience dans la mise ne ouvre de ses desseins, chaque minute compte.
Transports en commun, voiture, vélo, à pieds ou autre ?
Lorsqu’il était petit, il arrivait que Sam soit en garde chez ses grands-parents. Tous les deux sont moldus et se déplaçaient avec une voiture. D’ailleurs, il a eu un accident de la circulation avec son grand-père. C'est ce jour-là qu’il a su qu’il était un sorcier. En grandissant, Sam n’a jamais eu la possibilité de conduire ses engins mais pourquoi pas essayer un jour.
Études suivies
Placé dans la maison des Gryffondors, Sam a eu une scolarité plutôt correcte. Il ne sait jamais trop fouler pour les études. Il était plutôt calme et réservé. C'est un étudiant qui aimait passer des heures à regarder son environnement, à le décrypter dans sa tête. Beaucoup de professeur, pensant que le jeune homme était un rêveur. Alors que ce n’était pas le cas, son cerveau enregistrait tout. Après Poudlard, il est parti à Paris pour apprendre la botanique avec un professeur d’origine asiatique qui possédait une boutique d’apothicaire. Il a appris à utiliser les vertus de sa baguette pour faire des potions thérapeutiques et des poisons en tout genre. C'est un maître des potions qui aime inventer ses propres sortilèges.
Cap sur l'avenir
Son objectif est très simple, rendre à sa famille tout ce que le ministère lui a volé. En commençant, par acheter une boutique d’apothicaire dans l’Allée des Embrumes, et rénover la boutique de son père. Faire en sorte que sa famille puisse résider dans leur veille maison familiale laissée à l’abandon à Newcastle. La prospérité des siens est importante. Il est maintenant temps que les Carmichael retrouvent leur honneur. Il est temps de faire justice, en rassemblant ses alliés. Permettre aux hybrides et à toutes créatures d’être considérés comme des égaux aux sorciers. Quitte à faire la guerre contre le ministère. Quitte à entrer en politique et briguer le poste le plus convoiter : le siège du ministre de la magie.
Que pensez-vous de ces sorciers prônant la supériorité des sang-pur ? Un petit retour dans leur arbre généalogique devrais les faire changer d’avis.
Si vous deviez choisir entre Maureen Filztter-Murray et Rafael Grey vers qui se porterait votre choix ? Le ministère est gangrénais par la fourberie et les excès de pouvoir. Il est temps d’éradiquer la mauvaise graine. Si je devais faire un choix et connaissant la réputation de la dame, je serais tenté de dire Maureen Fliztter et de lui proposer de devenir mon allié et moi le sien.
Est-ce une bonne chose que les moldus apprennent l'existence des sorciers ? Je pense que le premier ministre moldu n’a pas du réfléchir très longtemps avant de prendre sa décision. En annonçant l’existence même des sorciers aux moldus, il va certainement susciter une réaction de méfiance et de peur. Puis viendra, ce que qu’on constate déjà chez certains Cracmols, de l’envie. L’envie de posséder du pouvoir, de manier la magie. Et que ce passera-t-il lorsque les moldus comprendrons qu’ils ne peuvent l’obtenir ?
La Gazette du Sorcier, info ou intox ? Ce torchon ne mérite même pas d’exister et d’être lu par nos concitoyens.
D'après vous, que va-t-il arriver dans un futur proche ? Ecouter les nuits de pleines lunes, le hurlement des loups. Ils sont près à déferler leurs rages et prendre les armes pour défendre leurs droits. La guerre approche à pas de loup.
| Je suis moldu et je me soigne. | Chris Hemsworth ϟ Gaëlle / Aelou ϟ //
Personnage inventé, poste vacant ou scénario ?C'est un personnage inventé qui m’a donné la migraine. Multicomptes ou fraîchement arrivé ? (à préciser pour les multicomptes)Owen Grey – Eryn Adams-Keane Activité prévue sur le forum (7/7) : Selon mes disponibilités Comment êtes-vous arrivé sur MM ?J’uis une ancienne Un petit commentaire pour la fin ? « J’aime quant un plan se déroule sans accros » - Hannibal SMITH Au fait, le code du règlement, tu peux nous le dire ? validé (c) crédits images utilisées dans la fiche
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Dernière édition par Sam Carmichael le Mar 10 Déc - 15:50, édité 10 fois |
| | | Sam Carmichael Les sorciers du quotidien. La vie ne fait que commencer. ϟ Parchemins : 24 ϟ Célébrité : Chris Hemsworth
| Sujet: Re: Sam Carmichael Lun 18 Nov - 18:40 | |
| | The time of wolves
« La meute s’agrandit … » |
Date : 14 septembre 2005 Lieu : Maison des Carmichael à Newcastle
L’avenir. L’avenir est une chose qui a toujours effrayé mon père. Il scrute la fenêtre de la chambre de ma mère qui hurle dans l’espoir de me délivrer. On ne peut en vouloir à un homme infecté par la lycanthropie d’avoir peur pour sa progéniture. Même s’il a accepté sa condition, tout en la dissimulant aux yeux de tous, il se sent coupable. Une culpabilité qui se traduit par un sang différent, que ses enfants devront accepter à leur tour. Notre société quant à elle, n’accepte pas la différence. Pour se dédouaner de cette peur, elle fait des recherches dans l’espoir de nous délivrer, nous les hommes-loups de cette maladie. Quant est-il de ceux qui sont nés de ce sang impur ? Peut-être n’avons-nous pas envie d’être sauvés ? Peut-être qu’il n’y a rien à sauver ? Pourquoi ne pas nous laisser le choix de décider de notre destin.
Ma mère pousse de toutes ses forces, et c'est ainsi que je vis le jour dans le manoir familiale des Carmichael. « C'est un garçon » prononça fièrement l’oncle Carter et médicomage de la famille. Des hommes pour gonfler les rangs de la ligné Carmichael. Il faut remonter dans le temps pour connaître nos origines. Partir dans les pays scandinaves. Des vikings assoiffés de conquêtes et de découvrir de nouvelles contrées. Mes ancêtres ont accostés sur cette île pour ne plus en repartir. Ce choix reste un mystère. Mon père monte les escaliers pour rejoindre ma mère. En ouvrant la porte, mon oncle Carter m’avait enveloppé dans un linge propre et donné à ma mère. Elle me berce tendrement. Son front perle de goutte de sueurs et certaines s’échappent de son visage, glissant le long de sa joue. « Mon petit loup … » Sa voix est douce et fragile. Mon père s’approche, anxieux de me rencontrer. Je suis le premier de la famille. L’ainé des Carmichael. Il grimpe sur le lit et se pose au côté de ma mère. Son cœur se serre lorsque nos regards se croisèrent. Je ne pleure pas, je regarde fixement mon père de mes yeux gris claires. Mes yeux sont de la couleur des nuages annonçant l'arrivé du mauvais temps. Il n’est pas aisé que de cacher la vérité. De la cacher les jours de pleines lunes. Je suis le fils d’un lycanthrope. D’un homme-loup. Avait-il eu le choix de sa propre condition ?
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Date : 13 juillet 1998 Lieu : Dans les rues de Newcastle
La lune était pleine et haute ce soir-là. Joshua, dit « Jo » sortait tout juste de chez ses amis. Une soirée organisée en l’absence de parents. Une soirée entre adolescents, sans la présence d’adulte, sans une autorité qui viendrait à vous rappeler combien il est nocive de consommer un trop plein d’alcool ou de substance prohibé. Jo, lui, s’était contenté de boire des bières. Assez pour avoir l’esprit embrumé, pas assez pour ne pas se rendre compte que transplaner dans son état est un risque. Il n’avait pas loin à aller. Sa maison n’était qu’à quelque rue de là. Jo du haut de ses dix-sept ans, se sentais bien. Il marchait les mains dans les poches, l’esprit encore accaparé par la jeune demoiselle qu’il vient tout juste de rencontrer. Une bretonne. Des formes sveltes, une chevelure rousse et un visage doux parsemé de légère tache de rousseur. Ah ses yeux verts, il n’arrivait pas à penser à autre chose. Jo n’a pu se détacher de ses yeux verts claires. Il avait été transpercé par le désir et un sentiment de plénitude. L’alcool y avait été certainement pour quelque chose. Et pourtant dés que ses yeux s’étaient posés sur Rosemary, il savait qu’elle serait l’élue.
Brusquement, un craquement de branches le fit se retourner. Il aperçu dans la pénombre un buisson bouger et entendit des petits couinements. L’appel d’un animal blessé. Ce fut ses premières pensées. Il y avait une chance sur deux pour que ce soit autre chose. Un chose dangereuse mais c'est avec détermination, de jouer les sauveteurs animaliers, qu’il s’approchait de la masse de feuillage. Pourquoi ne pas avoir sorti sa baguette ? Une idiotie. La quantité de bières ingérées ne l’avait pas aidé à prendre la bonne décision. Sa mère l’avait toujours mis en garde. Un conseil répétitif. Transplaner était dangereux lorsqu’on n’avait pas toutes ses capacités. Inconsciemment, Jo était conditionné contre les risques du transplanage sous alcool. Son conditionnement était resté là. Il s’était avancé vers buisson sans prendre la peine de sortir sa baguette. Une masse sombre, bondit sur le jeune homme. Des dents blanches et acérés s’enfoncèrent dans la chaire de son bras. Les hurlements de Jo s’entendirent au loin. Ses amis accourent sur les lieux du drame. Joshua Carmichael gisait sur le bitume un bras ensanglanté, la baguette tremblante vers l’avant. Il avait réussit à s’en emparer et envoyer un sort cuisant. Le loup-garou s’était enfuit, laissant à tout jamais dans le sang et la vie de Jo un venin indélébile. L’un de ses amis, Marc s’était rapprocher de Joshua, pendant que d’autre avait levé leur baguette pour appeler des secours. « Qu’est qui t’es arrivé ? » la voix de marc était tremblante. « Un chien … m’a sauté dessous … » Jo était en état de choc. Il ne pouvait pas croire qu’un loup-garou l’avait attaqué et même si s’était le cas, il gardait cette information pour la seule personne capable de l’aider, son père. Marc quant à lui, dont imagination à toujours était très fertile, semblait déjà sceptique. La version de son ami ne lui convenait pas. Trop banal. Pas assez extraordinaire. Le père de Jo fut le premier sur place. L’homme était grand avec une moustache grisonnante et des cheveux châtains foncés. Il s’approcha de son fils et inspecta le bras de celui-ci en demandant à Marc de s’éloigner. « Qu’est ce qui s’est passé fils ? » demanda-t-il ne cachant pas son inquiétude. Jo se pencha et murmura dans l’oreille de son père. « Je crois que s’était un loup-garou … »
Mon grand-père ne souhaitait pas que son fils subisse le regard méprisant des gens, préférant garder le silence. Un loup-garou dans la famille n’aurait pas été un souci en soi, si la société magique ne les considéraient pas tous comme des monstres. Son fils n’était pas un monstre, mais bien une victime. Non pas un être dangereux mais bien un jeune homme dont l’ambition était de reprendre l’affaire familiale. Mais personne n’accepterai de faire affaire avec un loup-garou. Trop dangereux, trop lunatique. Ainsi le secret de famille des Carmichael vit le jour.
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Date : 07 mai 2009 Lieu : Bureau du Psychomage – Docteur John Mayer de l’hôpital de Sainte-Mangouste
Je suis assis dans la salle d’attente. Mes pieds ne touche pas le sol et je regarde d’un air inexpressif le nom et prénom marqué sur la porte : Docteur John Mayer – psychomage. Ma maman est assise prés de moi, tenant mon petit frère dans ses bras. Un enfant prétend toujours que sa maman est la belle du monde. Je vous le confirme ma mère est très belle avec ses cheveux flamboyants, relevés en chignon. Ces grands yeux verts me regardent toujours avec tendresse. Lorsqu’elle me prend dans ses bras, j’aime cacher mon visage dans son cou et sentir son parfum. Un parfum gourmand, avec une pointe de lilas. Je ne montre aucune émotion et je ne cherche nullement à me faire dorloter. Je ne sais pas vraiment pourquoi maman et papa ont décidés de m’emmener voir le docteur Mayer, mais ça ne me plaît pas. La porte s’ouvrit, un homme avec un blouse blanche fait signe de la tête à ma mère. « Madame Carmichael … » Maman se lève, mais ne franchis pas le seuil de la porte. Il n’y a que moi qui passe et entre dans la pièce. J’ai quatre ans et à chaque fois que la porte se referme derrière moi, j’ai subitement peur. Mon visage reste figé malgré tout. Je me retourne pour regarder ma maman, disparaître. J’ai l’impression d’être abandonné. Le docteur Mayer est un homme âgé, d’une soixantaine année, avec des cheveux tous blancs et une grosse barbe. Il me fait penser au père noël. Papa a une confiance aveugle en cet homme. Il dit qu’il a « un sens de l’étiquette ». Enfin, quelque chose comme ça. Le docteur est gentil mais sont odeur me plaît pas. Son parfum n’est pas très allégeant. On dirait une odeur de renfermé, d’alcool très fort et de viande avariée. Je m’assoie comme à mon habitude sur la petite chaise rouge prés de la fenêtre. Il y a une petite table fait pour les enfants. Un pot avec des crayons de couleurs, avec du parchemin sont posés dessus. Comme d’habitude je dessine et comme d’habitude le professeur me pose des questions. « Bonjour … comment vas-tu aujourd’hui ? » Comme d’habitude je reste muet. Je ne parle pas et je n’en vois pas l’intérêt. Je préfère observer les gens. Je dessine en commençant par faire un rond, puis une oreille, puis une autre. « Tu ne veux toujours pas parler ». Quelle déduction Sherlock! Si aucun mot ne sort de ma bouche, c’est qu’il est évident que je ne souhaite pas parler. Ces adultes ! Je ne parle pas depuis que je suis né. Apparemment, cela inquiète terriblement mes parents. Assez pour m’envoyer chez un psychomage. Il m’a fait des testes avec sa baguette, et il a regardé mon cerveau. Il y a quelque jour, j’étais assis dans la salle d’attente et j’ai entendu le docteur Mayer parler avec mes parents. « Ton fils va bien Joshua. Après examen de son rythme cérébral, on constate … » Un bruissement de papier m’indiquait qu’il montrait un document à mes parents. « … que les fréquences électriques sont très haute pour un enfant de cette âge. Les testes montrent que sa mémoire est très active. Par contre, je ne comprend pas pourquoi il ne parle pas … ». Voilà pourquoi je me retrouve tous les jeudis matins dans le bureau du docteur pour ma séance. Il suffirait que je parle mais je n’en ai pas envie.
Mon dessin est fini. J’ai fais un chat bleu. J’aime bien le bleu. Le vieux docteur regarde mon dessin en se lissant les poils de sa moustache. « Il est très beau ton rat … » dit-il en souriant. Je lève les yeux aux ciels. Toujours à côté de la plaque ce guérisseur.
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Date : 30 octobre 2010 Lieu : A la sortie du village de Prospoder (Finistère – Bretagne)
La magie, je la sens. Les yeux ouvert, les yeux fermés, j’arrive à renifler cette énergie. Je sais que je suis un sorcier, j’attends juste mon tour.
Je suis en vacances chez mes grands-parents, papi et mamie Bibi. Maman et papa sont restés avec mamie pour préparer le repas du midi. Colin, mon petit frère doit certainement encore en train de dormir. Maman dit que c'est normal puisque c'est un bébé. Moi je trouve que c'est de l’assistanat et qu’il pue beaucoup. Je suis monté dans la voiture de papi qui fait du bruit. Des bruits métalliques au démarrage et tout le long du chemin. Je n’ai pas le droit de montrer devant. Papi dit que c'est à cause des moldus habillés en blues. Ils interdisent aux petits de montrer devant. Papi dit qu’il s’agit de « poulets ». Je ne comprends pas comment des poulets habillés en blues peuvent faire pour arrêter les gens et leur interdire de faire des choses. Ils ont peut-être des baguettes comme les sorciers ? Mamie nous avait envoyée en mission, aller au marché chercher des oranges. J’aime bien les missions, parce qu’il y a toujours un but, un objectif. Mes yeux se perdaient dans le brouillard. On n’y voyait pas à deux mètres et grand-père plissait son regard. Papi faisait la conversation, un monologue car je ne suis toujours pas décidé à parler. J’adaptais mes iris pour voir plus loin et pénétrer la brume. Une voiture s’est engagée sur notre voie. Elle est sur notre trajectoire et roulait tout droit sur nous. Ni mon grand-père, ni le conducteur d’en face ne semblait se distinguer au travers l’épais manteau gris. Moi je le vois et je ferme les yeux lorsque je m’aperçois que la voiture se rapprocha dangereusement de la notre.
« Samuel » La voix de maman tremble et malgré tout elle me semble toujours aussi douce et réconfortante. J’ouvre mes yeux. Je reconnais le salon de mes grands-parents. La cheminée, les vieux fauteuils en cuire, les deux poupées en porcelaine est à leur place. Maman m’attrape dans ses bras. Par-dessus son épaule, je vois mon père froncer les sourcils et ma grand-mère se tenir prés de lui avec son tablier rose. Grand-père n’était pas à mes côtés. Il était resté dans la voiture et c'est alors que j’ai pris conscience que le silence peut blesser. Si je ne dit rien, papi Bibi était peut-être en danger. « Peut-être » … décidé à ne pas prendre le risque qu’il soit en danger, je dis : « Papi est blessé … » Mes premiers mots, mon premier acte de magie fut d’avoir conscience qu’aider l’un des miens, ma famille était la chose la plus importante. Mon père ne tarda pas à partir.
L’horloge de la cuisine indique onze heure cinq. Je suis assis dans les bras de maman, elle me caresse les cheveux. Je ne suis pas nerveux. Je suis sûr que Grand-père va bien. Mamie regarde avec anxiété par la fenêtre. Papa arrive avec papi Bibi quelque minute plus tard. Il avait réussit à éviter la voiture mais pas l’arbre sur le bas côté. Il n’a rien, juste eu peur de m’avoir perdu.
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Date : 1er septembre 2018 Lieu : Ecole de Poudlard (Ecosse)
« Colin Carmichael » Mon frère Colin s’avance vers l’estrade et s’assoie sur le tabouret devant toute l’assemblée. Je suis anxieux et croise mes doigts sous la table. J’ai envie que mon frère me rejoigne chez les Gryffondors. Il y a deux ans, c'était moi qui étais à sa place avec le Choixpeau sur la tête. Ma première année s’était plutôt bien passé et j’espère que ce sera le cas pour Colin. Je me suis fais quelques copains. Il me trouve un peu bizarre surtout les jours de pleine lune quand j’oublie de prendre la potion Tue-loup. C'est pendant cette période que j’ai le plus d’heure de colle. Je n’arrive pas toujours à contrôler mes humeurs.
La Choixpeau magique va bientôt annoncer dans quelle maison mon petit frère sera envoyé. Il n’est pas de tradition dans ma famille d’être envoyé dans la même maison. Les Carmichael ont grossi les rangs de chaque maison de Poudlard au moins une fois. Peu importe nos orientations, un Carmichael n’est loyale qu’envers sa famille. J’avoue que j’aimerais bien que Colin soit avec moi, chez les Gryffondors. Encore un peu de patience …
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Dernière édition par Sam Carmichael le Ven 6 Déc - 14:21, édité 9 fois |
| | | Sam Carmichael Les sorciers du quotidien. La vie ne fait que commencer. ϟ Parchemins : 24 ϟ Célébrité : Chris Hemsworth
| Sujet: Re: Sam Carmichael Lun 18 Nov - 18:41 | |
| | L’Affaire “ Carmichael ”
« « Monsieur Arthur Vance - Auror depuis 55 ans – Formateur et ancien du bureau des Aurors. Emmerdeur professionnelle et enquêteur d’exception malgré des trous de mémoire. Disparu de la surface de la terre le 08 avril 2021. Il a toujours dit qu’il irait passer sa retraite sur une île paradisiaque et qu’il emmènerait sa fille et petite-fille avec lui. Il ne les a pas revus depuis 20 ans et il n’est jamais passé les revoir avant sa disparition. Tout le monde pense qu’il a enfin décidé de se barrer loin de l’Angleterre. » » |
Date : 4 avril 2021 – 04H13 Lieu : Bois prés de la rive du Tyne
Je m’appel Arthur Vance et j’étais Auror depuis une cinquantaine d’année environ. Je marchais en direction de la scène de crime. Ne me demandez pas pourquoi, mais cette affaire était aussi puante que le derrière d’un Sombral. J’allais être en retraite dans quelques jours et voilà que cette enquête me tombe dessus. Lorsque je m’approchais de mon jeune et petit con de coéquipier, je découvris le couple ensanglanté. La femme regardait les cieux de ses yeux livides, comme si, elle essayait de se raccrocher encore à quelque chose. Son abdomen était ouvert, un trou béant. Sous la demoiselle, un autre corps, celui d’un homme, la tête vers le sol terreux. Une partie de sa jambe et de sa main avait disparu. Arraché de son corps, ne laissant que des poignions de chaires. Un sérial loup rodait à Londres et voilà qu’il venait se perdre à Newcastle. Pas chance pour ses deux moldus. Une escapade en amoureux qui s’est arrêtée ici. A la lisière d’un bois. Je m’étais rapproché d’un tronc où des morceaux de fibres roses comme le haut de la victime étaient restée dessus. J’avais toujours eu le sens de l’observation. Les détails. Et savoir poser les bonnes questions. Avec le temps, ma mémoire devenait de plus en plus défaillante. Il était temps pour moi de laisser la place à la nouvelle génération. Notre sérial loup était très méthodique. Ils tuaient ses victimes – attendait la suite – les jours de pleines lunes. Notre tueur était un loup-garou qui gardais sa nourriture prés de lui, jusqu’à ce qu’il redevienne humain. Dés l’aube, il se mettait au travail en mettant les corps en scène. La première de ses victimes, une petite vielle à été retrouvée la tête décapitée et mangée par endroit. Il l’a lavée et installée confortablement, sur un banc. Les psychomages prétendaient que le loup-garou se sentait coupable dés qu’il redevenait humain. Ce qui expliquait les scènes morbides qu’il réalisait après ses meurtres. Pour moi, ce n’était qu’un cinglé de plus dans ce monde. En passant ma baguette sur la scène de crime, je n’ai pas eu de mal à reconnaître sa patte. C'était un tueur méticuleux qui effaçait toutes ses traces. C'était bien sa manière de bouffer mais la disposition semble brouillon. Comme si quelqu’un l’avais dérangé. Je sentis mon coéquipier Marcus s’approcher. « Le tueur de Londres ? » … je ne supportais pas sa voix sifflante. Rien que pour ne plus l’entendre j’étais content de partir en retraite. J’émis un grognement entre mes dents. Notre tueur était bien loin de Londres, peut-être enfin une erreur de sa part. Le tueur de Londres, c'est ainsi que la gazette aux sorciers le nomme. Un torchon envahis par des parasites et pseudo-journalistes. La petite ménagère aime le sang et les scandales, c'est pourquoi la gazette aux sorciers ne disparaitra pas de ci-tôt. Dommage ! Nous étions arrivés avant les autorités moldus. C'était déjà ça en moins à gérer. Je m’accroupis prés des corps et passa ma baguette au-dessus d’eux. Je ne distinguais aucune trace. « Qu’on rapporte les corps au ministère ? » ordonnais-je sans plus de cérémonie. Je me relevais avec difficulté, mes genoux n’étaient plus de la première jeunesse. Marcus se tenait un mouchoir devant le nez. L’odeur de la mort l’indisposait. Je ne sentais plus grand-chose, mes narines étaient encrassées par la merde que pouvais braser l’horreur. Je regardais le jeune Auror qui n’avait toujours pas bougé. « Ben alors, qu’est ce que t’attend ? Qu’on te donne une tape sur le cul ? » Pourquoi m’avait-on donné ce petit con à former ? Je le regardais prendre sa baguette et faire léviter les corps. Une partie des tripes de la fille tomba sur le mec. Marcus la lâcha au vol et se retourna pour vomir. J’avais formé bons nombres d’Auror. Et celui-là, un véritable lèche cul, se pavanant devant le chef. Il ne faudrait pas que le chef baisse son pantalon pour que Marcus se précipite sur lui pour le lécher en profondeur. Je décidais de retourner au bureau et laisser Marcus avec la sale besogne. Retour au bureau. Il y avait des têtes qui me sortaient par les trous de nez. Sur l’ensemble des Aurors présents, seul deux ou trois me manquerons. Des types et une petites gonzesses avec du tempérament. En arrivant à mon bureau, le bordel qui y régnait me fit lâcher un juron. Pour pas changer. Une bouteille de Bourbon ainsi qu’un panier garnie était posé sur mon bureau. La bouteille était accompagnée d’une note : « Place aux jeunes Papy». J’en souris. L’Auror qui me l’avait envoyé avait été sous mon aile pendant quelques temps. Combien de temps ? Je ne serais le dire, j’avais des trous de mémoire. Avec le temps j’ai développé une mémoire sélective, comme les gonzesses. Quant au panier garni, il s’agit d’un cadeau de l’administration. Et hop, je le fis disparaître en cendre avec seulement un coup baguette. Un autre cadeau était posé contre mon encrier. Une invitation pour passer la soirée au Eve’s Sin et profiter d’une danse en toute intimité. Encore un Auror qui me connaissait bien. D’ici peu, j’arrêterais de courir après les méchants sorciers. Ah la retraite ! Une voyante m’a dit un jour, que je serais tué quelques jours après. Ce n’est vraiment pas de pot, me diriez-vous ! Et d’un autre coté cela ne m’étonnais guère. Je me suis fais beaucoup d’ennemis. C'est le métier qui veut ça ! « Oh Arthur devine quoi ! » Retour au bureau, dit, retour du petit con. Marcus avait un large sourire, il exultait sur place. S’il continuait comme ça, il allait se pisser dessus. Je fronçais les sourcils et fit comme s’il n’existait pas en taillant la pointe de ma plume. « Après ton départ et celui de l’équipe, j’ai refais un petit tour des environs. Pour voir si je ne pouvais pas y trouver … » Quoi tes testicules ! « … des indices. Et j’ai découvert la main du type avec des poils dedans. ». Il n’était peut-être pas si mauvais. J’en restais pas mal perplexe et fronça les sourcils d’un air septique. Le tueur le plus méticuleux que j’ai rencontré, laisse des indices. Une première et trop facile à mon gout. « On a déjà identifié à qui appartient les poils. Il s’agit de Joshua Carmichael. On a analysé les corps, il s’agit bien des mêmes marques que sur les autres victimes… ». Pour les marques, j’aurais pu le dire. Par contre, le tueur serait Joshua Carmichael. Etrange. Je suis allais plusieurs fois dans sa boutique à Newcastle. Rien à voir avec un tueur. Un bon père de famille, avec des enfants qui devait avoir l’âge de ma petite fille. Joshua passais beaucoup de temps au ministère ses derniers temps. Pourquoi ? Pour grappiller des infos concernant les meurtres ? Si c'était le cas, il serait venu ici. Il aurait pu me poser des questions. Cette affaire sentait mauvais.
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Date : 4 avril 2021 – 6H07 Lieu : Bureau des Aurors – Londres
Joshua Carmichael était arrêté pour les séries de meurtres. Je regardais Joshua passer devant moi et rentrer en salle d’interrogatoire. Il avait la tête haute et déterminé. Les poils, nous on indiqués qu’il s’agissait de Joshua. Pour être sûr, la procédure veut qu’on vérifier une seconde fois pour faire la correspondance, et relié les poils aux suspects. Ce que j’ignorais c'est que l’analyse n’avait pas été effectuée. Par contre une analyse de Joshua à bien été effectué et à démontrer qu’il était infecté par la lycanthropie. Encore un mauvais point, qui n’arrangera pas les affaires de monsieur Carmichael. Le fait qu’il ne s’était pas enregistré comme loup-garou par le ministère, n’allait pas en sa faveur. Beaucoup y voyait le meilleur moyen pour lui de passer inaperçu. De pouvoir tuer en toute liberté. Pour couronner le tout, Joshua était à Londres pour les premiers meurtres et habitait à quelques kilomètres du lieu du crime pour le dernier. Joshua a essayé de ce défendre, en expliquant devant les Mangenmagots, qu’il était à Londres pour rencontrer des personnes du ministère et qu’il avait pris une chambre au chaudron baveur pour enchainer les rendez-vous. Bien que certains ont confirmés ses dires, d’autres ne se sont mêmes pas déplacés. Certainement, qu’ils ne souhaitaient pas être assimilés à cette affaire. Joshua expliqua qu’il utilisait régulièrement la potion tue-loup et s’enfermait dans la chambre. Il prenait de telle précaution, qu’il était impossible qu’il sorte. Et même si c'était le cas, un loup-garou ne passe pas inaperçu. En disant cela, un Mangenmagot, se jeta sur ses paroles : « Alors il y a une chance que vous soyez sorti de votre chambre ? » Personne n’attendait de réponse. La sentence allait bientôt tomber.
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Date : 8 avril 2021 Lieu : Bois prés de la rive du Tyne
J’ai rendu visite à monsieur Carmichael à Azkaban. L’homme n’était plus que l’ombre de lui-même. Son regard était vide, triste et maladif. Il devenait paranoïaque, en répétant sans cesse qu’un fantôme l’empoisonnait en lui volant son âme. J’ai toujours pensé qu’il avait perdu la tête et qu’il parlait des Détraqueurs. C'était avant de continuer à creuser, bien que je fusse officiellement en retraite. Ah les habitudes ! En continuant cette enquête, j’y trouvais quelque incohérence. Comme par-exemple, comment Marcus avait-il pu trouver cette main alors que toute une équipe de brigadier sur place n’avait rien vu. J’ai même essayé de rentrer dans sa tête. Je fus surpris de découvrir que Marcus, était oclumenciens. Il n’a pas apprécié et en a fait part à son supérieure hiérarchique. Comme si ses menaces me faisaient peur. D’autres questions n’ont toujours trouvé de réponse : le sérial loup à toujours effacé ses traces. Il déplaçait ses victimes pour s’en occuper plus tard. Pourquoi les corps étaient ainsi disposés. Personne, aucun témoin ne sait manifester pour dire qu’il avait vu une énorme bête dans les parages. S’il avait fuit parce qu’il a été interrompu, on aurait eu des traces, un témoin. Rien ! Nada ! Le procès de monsieur Carmichael s’est déroulé rapidement. Trop rapidement à mon gout. Ce serait pour calmer les clameurs de la populace qui demandait justice. Et Marcus était devenu un héro. La blague de l’année ! L’entreprise familiale des Carmichael a été placée sous tutelle. Tout était au nom du père, mettant ainsi à mal la légitimité de Madame Carmichael à demander de gérer elle-même l’entreprise. J’étais revenu sur les lieux du crime, adossé prés d’un arbre où l’on a découvert les corps. J’inspectais les lieux, une nouvelle fois. Peut-être qu’on serait passé à côté d’un indice ? Après tout, si on était passé à côté d’une main ! C'est alors qu’une ombre s’approcha de moi. « Qu’est ce que vous faites là ? » demandais-je surpris en voyant une lumière verte arriver vers moi.
Ce fut la dernière fois que ma bouche daigne s’ouvrir dans cette vie de merde. Car aujourd’hui et pour longtemps, je suis mort et réduit à un os. Au moment où je perdis la vie, j’aurais cru voir défiler celle-ci. Foutaise. Mensonge. Il y a que le néant. J’aurais aimé dire à ma fille combien je l’aimais, combien j’aurais aimé passer ma retraite à me faire pardonner de mes absences en m’occupant d’elle et de ma petite-fille. Conseil du jour, lorsqu’une voyante s’approche de vous, fuyez !!
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Dernière édition par Sam Carmichael le Ven 6 Déc - 15:03, édité 9 fois |
| | | Sam Carmichael Les sorciers du quotidien. La vie ne fait que commencer. ϟ Parchemins : 24 ϟ Célébrité : Chris Hemsworth
| Sujet: Re: Sam Carmichael Lun 18 Nov - 18:41 | |
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Date : 06 décembre 2026 Lieu : Boutique de maître Chan
Je travail dans la boutique de Maître Chan dont la boutique est située sur une île du pacifique. Je laisse derrière moi ma famille, avec un certain regret. Ma mère à décidée de vivre chez Grand-père Bibi. Maman n’a pas souhaitée nous inscrire dans une autres école après que papa se soit fait arrêté. Et toute notre scolarité à déjà été financé, même pour ma petite sœur Kierra. Financièrement, on ne pouvait pas faire autrement que de terminer notre scolarité à Poudlard. Dés que j’ai eu mon diplôme, j’ai décidé de partir faire une formation d’apothicaire et de maître en potion. Maître Chan a été intrigué par ma baguette, assez pour m’initié à son art. J’ai pu constater au cours des mois et des années que Maître Chan avait une clientèle très diversifié. Il ne posait jamais de question sur le devenir de ses potions. C'est un homme taiseux qui ne se dévoile pas facilement. Mon but est de devenir un maître en potion. Actuellement, ce qui devient urgent, c'est de trouver de l’argent. Colin m’a parler d’un moldu qu’il aurait rencontré et qui travail dans la bourse. Je reste assez septique mais Colin est persuader que ce serait le meilleur moyen pour nous de devenir riche. Etant donné qu’il a d’autres ambitions, j’ai réfléchis et je pense me rentre dans les prochains jours à Paris pour voir de plus près ce qu’est cette activité. Ce sera l’occasion de passer les fêtes avec ma famille.
*** Date : 23 décembre 2031 Lieu : Paris
J’attends un hibou. Une confirmation qu’une première partie de mon argent va être transféré dans un coffre de Gringotts. De l’argent moldu qui devient des galions d’ors par million. Grâce à Colin, j’ai tenté l’aventure de jouer en bourse. Suivant toujours mon instinct, j’ai fais de bon placement et vendu au bon moment. Après avoir atteint une certaine somme, j’ai décidé de m’arrêter et d’investir dans le monde qui est le mien. Le monde magique. La technologie des moldus est stupéfiante et compliquée à la fois. J’ai souvent été découragé, mais j’y suis arrivé. Le café où je suis installé est situé en face de la tour Effel et je déguste mon café noir en songeant à la prochaine étape. Mes frères doivent me rejoindre dans peu de temps. Nous allons établir notre plan d’attaque pour rendre à notre famille son honneur et révélé la vérité sur mon père. J’ai toujours su faire preuve de patience et de calme en toute circonstance. C'est ce qui m’a permis de m’adapter aux mondes des moldus. Et encore, il y a plein de chose qui me dépasse. Pour l’instant chaque objectif que je me suis posé est atteint. Je suis maître en potion, j’ai de l’argent et ma famille est toujours aussi unie. Ma mère pense qu’il me manque une femme dans ma vie. Pour l’instant, je suis bien loin de ce genre de désir. Je suis plutôt dans le genre de Carmen qui vient de rentrer dans le café. Les cheveux très court et sombre, portant une robe très prés du corps rouge. Elle me fit un sourire en s’installant à ma table. « Je n’ai pas été trop longue ? » Qu’elle soit là ou pas, j’avoue n’en avoir rien à faire. Carmen était une gentille sorcière mais loin d’être la futur Madame Carmichael. Je pense qu’elle en a conscience car notre relation reste très physique. Elle ne sait rien de moi et moi je ne cherche absolument pas à entrer dans sa vie. Elle me répète souvent qu’elle me trouve beau, ce qui m’arrache à chaque fois un sourire gêné. A l’adolescence, j’ai pris tellement en centimètre qu’on se demandait quand cela allait s’arrêter. Je suis plutôt musclé et j’ai une carrure imposante. Un visage que je trouve commun sauf pour les demoiselles. Des cheveux blonds, châtains claires selon la luminosité. J’ai les yeux de mon père, gris. Je trouve que je n’ai rien d’extraordinaire et pourtant les filles se retournent facilement sur mon passage. « Tu dors chez moi ce soir ? » J’ai pris l’habitude de passer la nuit chez elle, étant donné que je vis encore avec ma mère, ma petite sœur et mes frères. Autant dire qu’on n’a pas beaucoup d’intimité. Et pourtant avec tout l’argent que j’ai gagné, je pourrais m’en acheter un d’appartement. Lorsqu’elle croisa ses jambes, je pouvais entendre le bruissement du tissu de sa robe et sentir comme un léger parfum de vanille et rose qui se dégageaient d’elle. Elle s’était parfumée dans les toilettes. Je me suis toujours dit que le jour où je trouverais l’élue, elle aurait une odeur particulière. « Sam ? Tu ne m’as toujours pas répondu ? » Je lui fis un sourire et termina mon café. « Pas ce soir … » Je n’avais pas à me justifier. Demain, je serais sur la route pour rejoindre ma famille en Bretagne et donc passer Noël avec eux. Je ne parle jamais de mes proches. J’ai l’impression de les préserver en disant le moins possible. J’ai pris l’habitude de cultiver le secret.
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Date : 09 septembre 2032 Lieu : Bar Eve’s Sin à Londres
Les glaçons s’entrechoquèrent dans mon verre. Malgré la musique suave et le brouhaha, j’arrive à entendre le bruit sourd des deux carrés de glaces qui se frottent l’une contre l’autre. Il m’a fallut du temps et de la patience pour apprendre à maîtriser mes sens. Pouvoir dissocier un bruit d’un autre, une odeur d’une autre. Adapter ma vue, au point de voir les plus minuscules détails qui gravitent autour de moi. Je n’étais pas ici pour un simple moment de détente. J’attendais un ancien Auror, un certain Marcus qui aurait participé à l’enquête des meurtres du sérial-loup de Londres. Je sortis de ma poche un morceau de la « Gazette aux sorciers » qui relatait l’affaire Carmichael. Une photo avait été prise à l’époque mettant en scène, ce fameux Marcus posant fièrement devant les journalistes. Le visage de l’homme était jeune et souriant. Je n’ai pas besoin de revoir cette photo et pourtant je la regarde encore, et encore. De peur de passer à côté. De le manquer parmi tous ses hommes. Le bar est plongé dans la pénombre, et seules les scènes où les danseuses se mouvaient, au gré de la musique, sont éclairées. C'est alors que je distingue dans l’ombre un homme. Grand, le visage portant une barbe de trois jours et légèrement blanchis. Pas besoin de te cacher Marcus, je te distingue dans le noir. Ses traits sont tirés, ses cheveux ont autant blanchis que sa barbe et il marche difficilement. Vu sont état cela n’avait rien à voir avec une blessure de guerre. Je décide de m’approcher de lui en laissant mon verre derrière moi. Il fallait que je lui parle de mon père, de l’affaire. Marcus s’installe sur un tabouret du comptoir et j’en fis de même. Son odeur empeste la sueur, le tabac froid et l’alcool. Alors, qu’une personne ordinaire ne sentirait qu’une partie, moi j’arrive à sentir en plus, de la tomate, une fragrance de musc et d’urine. En me concentrant, j’arrive à distinguer le type de tabac fumé et l’alcool bu. Marcus leva sa main vers le barman. « Un pur feu » Son verre en main, Marcus ingéra le liquide d’une seule traite. « Et ben mon ami, un pur feu ça doit se déguster … » Marcus tourne sa tête vers moi. Ses yeux sont injectés de sang et des cernes marquent ses yeux blues. Il me dévisage avec mépris, se demandant certainement ce que je lui voulais. Aucun sourire de ma part. « C'est du pipi chat, ça doit se boire vite … » dit-il d’une voix rauque. « Moi je préfère un bon whisky de 15 ans d’âge » Je lève ma main et appel le barman pour commander une bonne bouteille. La bouteille posée devant moi, je senti le regard avide de mon voisin. « Je te sert ? » dis-je en me servant un verre. Il l fit glisser son verre vers moi. « Je veux bien … j’espère que t’es pas en train de me draguer. Je n’aime pas ce genre de plan. » « T’es pas mon genre » Il sourit en prenant son verre. Après une heure de conversation à l’amadouer et à lui servir, vient le moment qui m’intéresse le plus. « … alors comme ça tu es Auror … » « Arh … ancien Auror … » « Pourquoi tu as arrêté ? » « J’en pouvais plus …. » Il est en train de plonger son regard dans son verre vide. « … un jour j’uis tombé sur des corps mutilés par un loup-garou … c'était … affreux ! » En l’observant, on voyait bien que la découverte des corps n’était pas le problème. Il semblait dégouté et résigné. Cherchant à me parler, à trouver les bons mots. « Un loup-garou … celui de Londres ? » « Ouai … un putain de loup-garou de Londres ! » Pas évident de tirer les vers du nez d’un ivrogne. « Et tu l‘as arrêté ? » « OUAI ! » Il haussa la voix comme si il revenait à la vie. « On là eu ce putain de loup. Il est mort à Azkaban … comme un chien qu’il était ! » J’ai une envie de buter ce type sur la seconde. Il vient d’insulter mon père, mon sourire ce figea dans un rictus forcé. « Tu as fais du bon boulot… un véritable héro ! » lui dis-je en lui tapant sur l’épaule. Il fut surprit, et j’ai du lui faire mal parce qu’il se massa l’épaule. « Ouai … j’ai fais du bon boulot. Mais je crois que je me suis trompé … » « Comment ça ? » [i]Sois patient Sam ![ /i]. Le barman s’approcha de nous et déposa un verre de whisky devant Marcus. L’odeur acre de plantes toxiques me parvint au nez. « NON » En essayant d’arrêter Marcus, la bouteille se fracassa sur le sol. Marcus me donna un coup de coude et bu son verre d’un coup. « T’es TARE mon GARS … c'est mon verre … » ce fus la dernière phrase qu’il prononça. Il fut saisit de convulsion et de la bave rouge sang sorti de sa bouche. « Merde » J’attrape Marcus dans mes bras « Allez meurt pas … » Marcus est mort. Je lâche son corps, qui tomba sur le sol comme une poupée de chiffon. Je sentis mon sang bouillonner dans mes veines. « Enfoiré …» Je serre les dents devant mon manque de rapidité. J’étais tellement pendu à ses lèvres, à ce qu’il était prés à me révélé que je n’ai pas fais attention, à ce qui était au tour. J’attrape le col du barman et le sorti avec une force phénoménale de derrière son comptoir. « Dit-moi pourquoi ? » « C'est cette main … » « QUOI ? QUELLE MAIN ? » « Je …. Ne me souviens plus … je n’arrive pas à me souvenir … » Il essayait réellement de se souvenir, je le voyais bien. Je lâche le type et hume l’air faisant le trie sur les odeurs et reconnu le parfum du poison. Je connais ce poison. Le type est encore là. Je me mis à le traquer, bousculant les personnes sur mon chemin, jusqu’à me retrouver dans la rue. Il avait transplané. Mon cœur bat à la chamade et l’énervement me fit lâcher un juron sonore. L’odeur du poison était présent ainsi qu’une odeur particulière de vêtement neuf et une flagrance de fleur. Du chèvrefeuille. J’hurle de rage et n’oublie pas ce parfum. Une femme ou un homme … peu importe. Je le retrouverais.
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Dernière édition par Sam Carmichael le Mer 11 Déc - 17:08, édité 8 fois |
| | | Sam Carmichael Les sorciers du quotidien. La vie ne fait que commencer. ϟ Parchemins : 24 ϟ Célébrité : Chris Hemsworth
| Sujet: Re: Sam Carmichael Lun 18 Nov - 18:41 | |
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« La meute s’installe et prend place dans ce monde. » |
Date : 15 Août 2033 Lieu : Demeure des « Carmichael », à Newcastle.
La maison familiale est en piteuse état. Elle borde la rive du Tyne et semble perdu derrière un amas d’arbres et de buissons morts. Les battants en bois se dérobent de leurs encochent. Certains volets sont inexistants. Ceux-ci n’ont pas résisté au temps et avait lâché pour finir en pièce sur le sol. Sur une partie de la façade en brique rouge, du laurier de couleur brune habille la maison. A une époque, cette maison avait un certain charme. Loin du sinistre qu’elle rend aujourd’hui. J’ai ordonnais, avec douceur et diplomatie, à ma jeune sœur et à ma mère, de commencer leur travaux de rénovation en commençant par l’intérieur de la maison. Je ne veux pas susciter la curiosité de nos voisins ou des passants. Ils seront bien assez vite que les Carmichael sont de retour chez eux. Notre retour serait synonyme de suspicion et certainement d’une surveillance vis-à-vis du ministère. Notre famille susciterait un certain regain d’intérêt. Nous avons été des personnalités très demandés dans le gratin de Newcastle. Participants à de nombreuses festivités et cérémonies en tout genre. A Londres notre famille avait su faire parler d’elle, lorsque mon père commençait tout juste à s’intéresser à la politique. Ses idées d’accorder des droits plus importants à certains hybrides avaient fait des remous. Assez pour en avoir payé le prix. J’entre dans le salon avec le courrier qu’un hibou vient tout juste de déposer sur le rebord de la fenêtre. Je lève la tête pour apercevoir ma jeune sœur Kierra en pleine réflexion, un nuancier dans la main. A côté de ma mère, ont aurait dit deux sœurs. Elles sont toutes les deux rousses avec de beaux yeux claires. On pourrait les confondre de loin. Seulement de loin, étant donné que ma mère est marquée par le temps et la lassitude d’une vie de bataille pour subvenir aux besoins de sa famille. On devine derrière ses rides et les cernes sombres, qu’elle fut jadis une très belle femme. Elle ne manque pas de charme derrière son tient pâle. Quant à Kierra, elle est aussi rayonnante qu’une fille de son âge pouvait l’être. Dix-huit ans. A peine sortie de l’adolescence. Nous avions tendance à la considérer encore comme une enfant. Une Illusion. Ma mère a les mains sur les hanches, observant avec intensité le mur où trône la cheminée. Kierra tourne la tête dans ma direction. « Taupe ? … » Me demande-t-elle en me montrant les couleurs qu’elle a choisi « Où Gris dorée ? » J’ai l’air d’avoir la tête d’un expert en décoration ! Je fronce les sourcils et croise mes bras. Au vu du nuancier, taupe était du gris foncé et le gris dorée du marron clair. De quoi vous retourner la tête. C'est bien un truc de gonzesse. Voyant mon visage déconfit, Kierra essaye de retenir son rire. Une blague, voilà ce que c'était. L’humour, je n’en manque pas. J’ai juste du mal à comprendre les subtilités de la gente féminine. Pourtant, elle sait que ce n’est pas mon truc. Ma mère se mit à sourire. Une sorte de solidarité mère – fille. « Laisse tombé … on se débrouillera. » continue Kierra avec un sourire espiègle. J’hausse les épaules et laisse les femmes Carmichael à leurs occupations. Certaines pièces étaient encore dans un sale état. Des Doxys avaient pris possession des lieux ainsi que l’humidité et la moisissure. J’aurais pu payer une entreprise pour rénover cette maison. En une journée, des sorciers experts dans le bâtiment aurait mis à neuf cette maison. Désirant rester dans l’ombre, je préfére éviter que des étrangers rentrent chez nous. De plus, ma mère cherche de quoi s’occuper, et pour l’instant cela lui convient parfaitement. Je monte les escaliers pour atteindre le palier et rentrer dans une pièce circulaire. L’ancien bureau de mon père était devenu mon bureau. C'est devenu le lieu stratégique des opérations. La tapisserie est déchirée où décollée par endroit. Le bureau est placé à côté de la fenêtre, en face une cheminée crépitant et de l’autre un mur entier parsemé d’articles de journaux, de photos qui se rejoignent avec des fils rouges ou noirs. Alors que je dépose mon courrier, dont une lettre pour Kierra, Colin entre dans la pièce. Il posa ses fesses sur le bureau et croise ses bras. Nous avons l’habitude de nous retrouver plusieurs fois par semaine pour faire le point. Il ne manque plus que Seth. Toujours en retard. « Comment c'est passé l’achat de la boutique ? » me demande Colin. « Simplement ! » répondis-je un sourire aux lèvres. L’achat de la boutique apothicaire « Gold Opium» s’était fait rapidement. L’ancien propriétaire, Monsieur Doug Johnson était devenu trop vieux. Du moins, il sait senti vieux au moment je lui ai proposé de racheter sa boutique. Je l’avais racheté pour trois fois sa valeur, et fait en sorte que monsieur Johnson est quitté la ville sur l’heure. Une disparition mystérieuse ? Pas vraiment, l’homme doit beaucoup d’argent. Dans le milieu, on se demandait comment cet homme était resté vivant aussi longtemps. Des usuriers entraient souvent dans sa boutique pour qu’il règle ses dettes. Cette fois-ci, l’argent va lui permettre de partir dans un pays chaud pour vivre une retraite … évitons de dire « bien mérité ». Les plus curieux, mettront un peu de temps avant de le retrouver. Pour les pessimistes, ils penseront qu’il est mort. S’il n’avait pas accepté, il l’aurait été certainement, mort. Je n’est pas le temps d’être charitable. Mes frères et moi-même sommes près à tout pour notre famille, pour la meute. Mon frère Seth entra, un sourire aux lèvres. De nous trois, il est le plus jeune, le plus enthousiaste. Il aime la vie avec un tel aplomb qui cela frôlait l’incompréhension. A vingt-deux ans, Seth s’était marié par deux fois et enchaine les conquêtes. Il aime les femmes comme on aime des friandises. Personnellement, ce type de comportement ne me posait pas de problème du moment qu’il ne mette pas en péril la mission. Par contre, Colin n’est pas du même avis. « Je crois que je suis amoureux … » Seth exultait, pendant que Colin bouge la tête d’un air affligé. « Nom d’un Merlin ! » grogne Colin entre ses dents. « On ne t’a pas demandé de tombé amoureux mais de la suivre. Et comment peux-tu être amoureux d’une femme qui fait deux fois ton âge et qui vient d’avoir un enfant ? » En voyant les lèvres de son frère bouger, Colin lui fait signe de se taire. « Non, ne répond pas … ». Je sentais l’exaspération de Colin et l’envie de Seth de lui chercher des puces dans le pelage. Des quatre enfants Carmichael, je suis le différent. J’agis par instinct et me comporte par moment comme le ferrait un loup. « Elle a un de ses paires de … » Seth mimait … les fesses ou seins, je ne serais le dire. « Seth » j’interrompe mon petit frère en bougeant la main pour lui demander d’abréger. « Ok. » dit-il en reprenant un ton plus sérieux. « Eden, jolie maman … » un sourire en direction de son frère Colin qui leve les yeux aux ciels. « … je lui ai filé le train pendant deux semaines. Elle est sur ses grades. Toujours un regard discret en arrière ou dans les vitres. Je ne sais pas si elle m’a vu, mais ce dont je suis sûr c'est que cette femme est complément paranoïaque … » « Normal, elle a du te sentir à des kilomètres en train de la mater, espèce de pervers … » « Lâche-moi du con … » « Me traite pas de con, connard » Les deux hommes sont déjà près à s’affronter. « SILENCE » Dés qu’ils commençaient, j’en n’avais pour des heures. Je ferme les yeux en me demandant comment serait ma vie sans frères. Certainement moins agité. Ils ferment leurs clapés en se jetant des regards sombres. « Le compagnon d’Anne-Sophie Eden, est Sean Evans, il s’agit du chef des Aurors. D’après mes renseignements, Eden ayant attaqué Rafael Grey, Evans est passé devant les Mangenmagot pour s’expliquer du comportement de sa dulcinée … Tu es sûr que tu veux d’elle comme alliée ? » Me demande Seth en se pinçant les lèvres. « Je ne vois pas le problème, elle une si belle paire de … » ironise Colin, en mimant des formes rondes avec ses mains et de façon grotesque. « Je la contacterai en temps utile. » Décidé à éviter que Seth ne réplique après la remarque de son frère « Continue à creuser concernant madame Eden. » Je m’approchais du mur et pointa du doigt une photo, celle d’une jeune femme blonde qui sortait d’un magasin. « Colin, tu t’occupes du Madame Apomechanes … » celui-ci hoche la tête. Bien que Seth est d’un tempérament plus extravagant, il est doué pour passer inaperçu. Lorsqu’on nous étions enfants, il aimait nous surprendre. Il n’a pas les sens aussi aiguisés que moi mais il est doué. Je n’ai pas besoin d’être prés des personnes, ou proies, que je traque pour les entendre, les sentir ou les voir. Ce qui est un avantage sur l’ennemi. Notre ennemi étant le ministère. Le mur est divisé en deux parties. D’un côté nous avons placé les photos de nos alliés avec les photos de leur proches connus, de l’autre nos ennemis avérés ou potentiels. Au centre, la question se pose encore. La nature humaine étant vaste, des précautions sont à prendre. Les plus sournois pourrait nous demander un service en retour, ou de l’argent. Rien ne doit être laissé au hasard. Je n’aime pas particulièrement les surprises. Mon but, ainsi que celui de mes frères, est de rendre à notre famille son honneur. Des pas se font entendre dans l’escalier. La porte s’ouvre et ma mère passa sa tête avec un sourire aux lèvres. « Allez les hommes … descendez ! » ordonne-t-elle avec douceur. « Il est l’heure du thé ». Ma mère est une grande amatrice de thé et nous avons été élevés en conséquence. Un thé l’après-midi, vers quatre heures avec un muffin ou une part de gâteau. J’aurais aimé avancer pendant cette réunion. Il y avait encore beaucoup de point à revoir mais aucun d’entre nous n’ose refuser …
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Exemple RP - "don" Date : 09 septembre 2032 Lieu : Bar Eve’s Sin à Londres
Les glaçons s’entrechoquèrent dans mon verre. Malgré la musique suave et le brouhaha, j’arrive à entendre le bruit sourd des deux carrés de glaces qui se frottent l’une contre l’autre. Il m’a fallut du temps et de la patience pour apprendre à maîtriser mes sens. Pouvoir dissocier un bruit d’un autre, une odeur d’une autre. Adapter ma vue, au point de voir les plus minuscules détails qui gravitent autour de moi. Je n’étais pas ici pour un simple moment de détente. J’attendais un ancien Auror, un certain Marcus qui aurait participé à l’enquête des meurtres du sérial-loup de Londres. Je sortis de ma poche un morceau de la « Gazette aux sorciers » qui relatait l’affaire Carmichael. Une photo avait été prise à l’époque mettant en scène, ce fameux Marcus posant fièrement devant les journalistes. Le visage de l’homme était jeune et souriant. Je n’ai pas besoin de revoir cette photo et pourtant je la regarde encore, et encore. De peur de passer à côté. De le manquer parmi tous ses hommes. Le bar est plongé dans la pénombre, et seules les scènes où les danseuses se mouvaient, au gré de la musique, sont éclairées. C'est alors que je distingue dans l’ombre un homme. Grand, le visage portant une barbe de trois jours et légèrement blanchis. Pas besoin de te cacher Marcus, je te distingue dans le noir. Ses traits sont tirés, ses cheveux ont autant blanchis que sa barbe et il marche difficilement. Vu sont état cela n’avait rien à voir avec une blessure de guerre. Je décide de m’approcher de lui en laissant mon verre derrière moi. Il fallait que je lui parle de mon père, de l’affaire. Marcus s’installe sur un tabouret du comptoir et j’en fis de même. Son odeur empeste la sueur, le tabac froid et l’alcool. Alors, qu’une personne ordinaire ne sentirait qu’une partie, moi j’arrive à sentir en plus, de la tomate, une fragrance de musc et d’urine. En me concentrant, j’arrive à distinguer le type de tabac fumé et l’alcool bu. Marcus leva sa main vers le barman. « Un pur feu » Son verre en main, Marcus ingéra le liquide d’une seule traite. « Et ben mon ami, un pur feu ça doit se déguster … » Marcus tourne sa tête vers moi. Ses yeux sont injectés de sang et des cernes marquent ses yeux blues. Il me dévisage avec mépris, se demandant certainement ce que je lui voulais. Aucun sourire de ma part. « C'est du pipi chat, ça doit se boire vite … » dit-il d’une voix rauque. « Moi je préfère un bon whisky de 15 ans d’âge » Je lève ma main et appel le barman pour commander une bonne bouteille. La bouteille posée devant moi, je senti le regard avide de mon voisin. « Je te sert ? » dis-je en me servant un verre. Il l fit glisser son verre vers moi. « Je veux bien … j’espère que t’es pas en train de me draguer. Je n’aime pas ce genre de plan. » « T’es pas mon genre » Il sourit en prenant son verre. Après une heure de conversation à l’amadouer et à lui servir, vient le moment qui m’intéresse le plus. « … alors comme ça tu es Auror … » « Arh … ancien Auror … » « Pourquoi tu as arrêté ? » « J’en pouvais plus …. » Il est en train de plonger son regard dans son verre vide. « … un jour j’uis tombé sur des corps mutilés par un loup-garou … c'était … affreux ! » En l’observant, on voyait bien que la découverte des corps n’était pas le problème. Il semblait dégouté et résigné. Cherchant à me parler, à trouver les bons mots. « Un loup-garou … celui de Londres ? » « Ouai … un putain de loup-garou de Londres ! » Pas évident de tirer les vers du nez d’un ivrogne. « Et tu l‘as arrêté ? » « OUAI ! » Il haussa la voix comme si il revenait à la vie. « On là eu ce putain de loup. Il est mort à Azkaban … comme un chien qu’il était ! » J’ai une envie de buter ce type sur la seconde. Il vient d’insulter mon père, mon sourire ce figea dans un rictus forcé. « Tu as fais du bon boulot… un véritable héro ! » lui dis-je en lui tapant sur l’épaule. Il fut surprit, et j’ai du lui faire mal parce qu’il se massa l’épaule. « Ouai … j’ai fais du bon boulot. Mais je crois que je me suis trompé … » « Comment ça ? » [i]Sois patient Sam ![ /i]. Le barman s’approcha de nous et déposa un verre de whisky devant Marcus. L’odeur acre de plantes toxiques me parvint au nez. « NON » En essayant d’arrêter Marcus, la bouteille se fracassa sur le sol. Marcus me donna un coup de coude et bu son verre d’un coup. « T’es TARE mon GARS … c'est mon verre … » ce fus la dernière phrase qu’il prononça. Il fut saisit de convulsion et de la bave rouge sang sorti de sa bouche. « Merde » J’attrape Marcus dans mes bras « Allez meurt pas … » Marcus est mort. Je lâche son corps, qui tomba sur le sol comme une poupée de chiffon. Je sentis mon sang bouillonner dans mes veines. « Enfoiré …» Je serre les dents devant mon manque de rapidité. J’étais tellement pendu à ses lèvres, à ce qu’il était prés à me révélé que je n’ai pas fais attention, à ce qui était au tour. J’attrape le col du barman et le sorti avec une force phénoménale de derrière son comptoir. « Dit-moi pourquoi ? » « C'est cette main … » « QUOI ? QUELLE MAIN ? » « Je …. Ne me souviens plus … je n’arrive pas à me souvenir … » Il essayait réellement de se souvenir, je le voyais bien. Je lâche le type et hume l’air faisant le trie sur les odeurs et reconnu le parfum du poison. Je connais ce poison. Le type est encore là. Je me mis à le traquer, bousculant les personnes sur mon chemin, jusqu’à me retrouver dans la rue. Il avait transplané. Mon cœur bat à la chamade et l’énervement me fit lâcher un juron sonore. L’odeur du poison était présent ainsi qu’une odeur particulière de vêtement neuf et une flagrance de fleur. Du chèvrefeuille. J’hurle de rage et n’oublie pas ce parfum. Une femme ou un homme … peu importe. Je le retrouverais.
(c) crédits images utilisées dans la fiche
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Dernière édition par Sam Carmichael le Mer 11 Déc - 17:10, édité 10 fois |
| | | Owen Grey La fierté de Godric. Courage & hardiesse. ϟ Parchemins : 175 ϟ Célébrité : Jake Gyllenhaal
| Sujet: Re: Sam Carmichael Mer 20 Nov - 14:16 | |
| Je sais que je connais la procédure mais vous ne faites pas votre boulot mes gens ! Bonjour Sam - tu as deux semaines pour terminer ta fiche et n'hésite pas si tu as des questions. Non mais ! |
| | | Hope L. McGwen L'esprit de Rowena. Sagesse & érudition. ϟ Parchemins : 1167 ϟ Célébrité : Astrid Bergès-Frisbey
| Sujet: Re: Sam Carmichael Mer 20 Nov - 14:21 | |
| BON. T'as juste oublié un truc: je file te réserver la tête de ce monsieur. Mais, techniquement parlant, il te reste moins de deux semaines So, BONJOUR SAM. Toi, là. && Bonne chance pour la fin de ta fiche, va ! |
| | | Liam Manderly La passion de Poudlard. Professeurs & personnel. ϟ Parchemins : 400 ϟ Célébrité : Jacques Gamblin
| Sujet: Re: Sam Carmichael Mer 20 Nov - 16:24 | |
| Hey Sam! Welcome sur ce magnifique forum! Un nouveau venu, ça fait toujours plaisir! Il va falloir se creuser la tête pour l'incruster dans la vie de tout le monde |
| | | Sam Carmichael Les sorciers du quotidien. La vie ne fait que commencer. ϟ Parchemins : 24 ϟ Célébrité : Chris Hemsworth
| Sujet: Re: Sam Carmichael Dim 24 Nov - 19:08 | |
| Coucou, J'ai déjà posté une partie de ma fiche. Elle n'est pas fini, il me manque la partie 3. Et je demande une semaine de plus pour finir ma fiche. En postant déjà une grosse partie de ma fiche cela vous donne des détails sur le personnage. Dés qu’Illusion aura pris sa décision, je ferrais les ajustements adéquat. Si vous avez des questions, n'hésitez pas !! |
| | | Alice M. Ewing L'ambition de Salazard. Ruse & pouvoir. ϟ Parchemins : 264 ϟ Célébrité : nina dobrev
| Sujet: Re: Sam Carmichael Mar 3 Déc - 14:16 | |
| Le délai t'est accordé Nous revenons répondre à tes demandes dès que nous aurons trouvé un terrain d'entente. Fais-en bon usage, tu as jusqu'au dimanche 8 décembre pour finir ta fiche, cela te convient-il? N'hésite pas à demander une rallonge supplémentaire si tu te sens un peu pressée par le temps |
| | | Owen Grey La fierté de Godric. Courage & hardiesse. ϟ Parchemins : 175 ϟ Célébrité : Jake Gyllenhaal
| Sujet: Re: Sam Carmichael Mer 4 Déc - 16:58 | |
| Ok ... Je dois encore relire toute ma fiche et cette partie 3 traine la patte ... mais ça devrais aller !! |
| | | Sam Carmichael Les sorciers du quotidien. La vie ne fait que commencer. ϟ Parchemins : 24 ϟ Célébrité : Chris Hemsworth
| Sujet: Re: Sam Carmichael Ven 6 Déc - 17:05 | |
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| | | Hope L. McGwen L'esprit de Rowena. Sagesse & érudition. ϟ Parchemins : 1167 ϟ Célébrité : Astrid Bergès-Frisbey
| Sujet: Re: Sam Carmichael Lun 9 Déc - 13:14 | |
| Je lis ça dans la journée ! ( mais, oé, n'oublie pas d'insérer le test RP concernant le "don" - après, j'viens de zieuter rapidement, je ne sais pas si tu l'as fait ^^ )
Edit - j'ai bien tout lu. Résultat, j'aurais une petite modification si ça ne dérange pas. Je coince énormément pour la possibilité de la baguette à pouvoir secréter du poison - et encore plus le fait de pouvoir maîtriser le poison. A la limite, comme Chan ( ou whatever ) était intéressé par les propriétés, c'est possible que la baguette soit un avantage / ait des facilités pour les potions / poisons. Donc : sécréter un poison seul ( et paralyser ), nope. Mais utiliser les facilités pour développer un nouveau poison, pourquoi pas. Voilà voilà x) |
| | | Sam Carmichael Les sorciers du quotidien. La vie ne fait que commencer. ϟ Parchemins : 24 ϟ Célébrité : Chris Hemsworth
| Sujet: Re: Sam Carmichael Mar 10 Déc - 15:27 | |
| Ok, je vais faire quelques ajustements. J'ai décris son "don" tout au long de son histoire mais je vais rajouter une partie. Il me faut une semaine de plus. |
| | | Hope L. McGwen L'esprit de Rowena. Sagesse & érudition. ϟ Parchemins : 1167 ϟ Célébrité : Astrid Bergès-Frisbey
| Sujet: Re: Sam Carmichael Mar 10 Déc - 15:34 | |
| Tu peux toujours déplacer une partie de la fiche et indiquer que c'est en test RP ... (ou comment apprendre à être vicieux, ahah) Aucun soucis pour la semaine supplémentaire ! |
| | | Sam Carmichael Les sorciers du quotidien. La vie ne fait que commencer. ϟ Parchemins : 24 ϟ Célébrité : Chris Hemsworth
| Sujet: Re: Sam Carmichael Mar 10 Déc - 20:07 | |
| En fin de compte pas besoin d'une semaine de plus ... j'ai rajouté une partie (dans la section 3) en mettant son don en avant. J'ai aussi rectifié la partie descriptive de sa baguette Alors ? je fais la lèche pour que ça passe !! |
| | | Hope L. McGwen L'esprit de Rowena. Sagesse & érudition. ϟ Parchemins : 1167 ϟ Célébrité : Astrid Bergès-Frisbey
| Sujet: Re: Sam Carmichael Mer 11 Déc - 12:08 | |
| Yeah, j'ai vu ce que t'as posté ! D'une manière générale, c'est un autre perso bien intéressant ! J'ai hâte de voir ce que ça peut donner en jeu ! ( dernière remarque, ahah. Ca serait bien que tu mettes l'exemple RP à la fin de la fiche *chipote encore* et que tu indiques que c'est l'exemple - ne sait-on jamais, c'est plus simple pour survoler la fiche ! )
« Bienvenue dans le monde des sorciers, de nouveaux horizons s'offre à toi, tes choix deviennent de plus important. Il ne te reste plus qu'à te faire ta place et peut-être un nom. » Tu peux désormais aller chercher des relations pour ton personnage en créant ta fiche de liens. Pour ensuite t'occuper de la gestion de tes sujets et entrer pleinement dans le jeu en te trouvant des partenaires de jeu. Afin que tes nouveaux compagnons puissent te contacter, n'hésite surtout pas à créer ta boîte à hiboux. N'oublie pas d'aller régulièrement réclamer tes points pour participer à la compétition !
Excellent jeu sur Mutinlutin Malinpesti !
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| | | Sam Carmichael Les sorciers du quotidien. La vie ne fait que commencer. ϟ Parchemins : 24 ϟ Célébrité : Chris Hemsworth
| Sujet: Re: Sam Carmichael Mer 11 Déc - 17:16 | |
| J'ai rajouté l'exemple à la fin de ma fiche ...
Merci de m'avoir validé ! ^^ |
| | | Hope L. McGwen L'esprit de Rowena. Sagesse & érudition. ϟ Parchemins : 1167 ϟ Célébrité : Astrid Bergès-Frisbey
| Sujet: Re: Sam Carmichael Mer 11 Déc - 18:04 | |
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| | | | Sujet: Re: Sam Carmichael | |
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